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Antiplasmodial Activity of ‘Highly Active Anti-Retroviral Therapy’ Against Plasmodium Berghei in Experimental Mice
Abstract
The anti-plasmodial effect of ‘Highly Active Anti Retroviral Therapy (HAART) was investigated. A hundred and twenty healthy Swiss albino mice (20-24 g) were passaged with Chloroquine sensitive P.berghei and randomly assigned into three study groups: prophylactic, suppressive and curative study group. The animals were subsequently treated with Zidovudine/Lamivudine preparation (Combivir) + Efavirenz (Sustiva) as Regimen 1 and Zidovudine/Lamivudine + Lopinavir boosted Ritonavir (Kaletra) as Regimen 2 at varying doses of 5, 10, 15 and 20mg/kg. Three control groups were given Chloroquine (5mg/kg), DMSO (0.2mls) and normal saline (0.2ml). Parasitemia was monitored, the average survival time were taken for all the mice and observations made regarding feeding habits, weight changes, behavioral and physical changes. R1 and R2 in all the studies were able to reduce parasitemia levels, with accompanying adverse drug effects at doses 15 and 20mg/kg. The most significant result was seen in the curative study with Regimen 2 at 15mg/kg yielding a 92.6 ± 1.54% reduction in parasitemia. The result indicates that Nucleoside and non Nucleoside reverse transcriptase inhibitors has a degree of anti-plasmodial effect, though not as effective as in Regimen 2 which included a protease inhibitor.
L’effet anti-plasmodiale de «thérapie antirétrovirale hautement active (HAART) a été étudiée. Un cent vingt sains souris albinos suisses (20-24 g) ont été passées avec P.berghei sensibles chloroquine et répartis au hasard en trois groupes d’étude: groupe d’étude prophylactique, suppressive et curatifs. Les animaux ont ensuite été traités à la zidovudine / lamivudine préparation (Combivir) + Efavirenz (Sustiva) que Régime 1 et zidovudine / lamivudine + lopinavir renforcé ritonavir (Kaletra) en tant que régime de 2 à différentes doses de 5, 10, 15 et 20mg/kg. Trois groupes témoins ont reçu la chloroquine (5mg/kg), le DMSO (0.2mls) et une solution saline normale (0,2 ml). Parasitémie a été suivie, le temps moyen de survie ont été prises pour toutes les souris et les observations faites au sujet de ses habitudes alimentaires, les changements de poids, de comportement et les changements physiques. R1 et R2 dans toutes les études étaient en mesure de réduire les niveaux de parasitémie, qui s’accompagne d’effets indésirables à des doses 15 et 20mg/kg. Le résultat le plus significatif a été observé dans l’étude curative avec le régime 2 à 15mg/kg ce qui donne un 92,6 ± 1,54% de réduction de la parasitémie. Le résultat indique que nucléosidiques et non nucléosidiques de la reverse transcriptase a un degré d’effet plasmodiale anti, mais pas aussi efficace que dans le régime 2, qui comprend un inhibiteur de la protéase.
Mots clés: paludisme, le VIH, les inhibiteurs de la transcriptase inverse, inhibiteur de la protéase