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Flapping rates of migrating and foraging Turkey Vultures Cathartes aura in Costa Rica
Abstract
Local and migrating populations of Turkey Vultures Cathartes aura co-exist in Costa Rica in autumn and spring (Stiles & Skutch 1989). We studied the flapping rates of individuals from these two populations to compare flight modes and the amount of energy invested in active flight. Migrants tended to fly higher in more stable air than local birds, which often fly low over the forest canopy while searching for carrion. Overall, migrants flapped at lower rates than did local, non-migratory birds. Migrants, but not local birds, flapped more on cloudy days than on sunny days, and more at the start and end of the day than at mid-day.
Résumé
Des populations résidentes et migratrices d'Urubus à tête rouge coexiste au Costa Rica en automne et au printemps. La recherche avait pour but de mesurer le taux de battements d'ailes des individus des deux populations et de comparer le type de vol et la quantité d'énergie investie dans le vol actif. Les individus migrateurs volent généralement à plus haute altitude dans une atmosphère plus stable que les individus résidents, qui volent à plus basse altitude à la recherche de nourriture. En moyenne, les oiseaux migrateurs battaient des ailes moins souvent que les oiseaux locaux. Finalement, les individus migrateurs, et non les individus résidents, battaient plus souvent des ailes les journées nuageuses que les journées ensoleillées, et aussi au début et à la fin de la journée comparer au milieu de la journée.
Vulture News Vol. 53 2005: 4-9
Résumé
Des populations résidentes et migratrices d'Urubus à tête rouge coexiste au Costa Rica en automne et au printemps. La recherche avait pour but de mesurer le taux de battements d'ailes des individus des deux populations et de comparer le type de vol et la quantité d'énergie investie dans le vol actif. Les individus migrateurs volent généralement à plus haute altitude dans une atmosphère plus stable que les individus résidents, qui volent à plus basse altitude à la recherche de nourriture. En moyenne, les oiseaux migrateurs battaient des ailes moins souvent que les oiseaux locaux. Finalement, les individus migrateurs, et non les individus résidents, battaient plus souvent des ailes les journées nuageuses que les journées ensoleillées, et aussi au début et à la fin de la journée comparer au milieu de la journée.
Vulture News Vol. 53 2005: 4-9