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Disgrace, Displacement and Reparation in J.M Coetzee\'s Disgrace
Abstract
In this paper I argue that the post apartheid South Africa that is represented in
Disgrace is a metaphorical borderland where, as with the intractable Eastern
Cape border where colonialism was both imposed and opposed, there is no clear cut distinction between self and other. I explore the concept of boundary blurring as a route to re-reading the issue of reparation in the novel, focusing mainly on the boundary of the Eastern Cape as a landscape with a fraught history and a space in which identities are formed and transformed across the boundaries of age, gender and race. I also examine Lucy, a liberal white lesbian, as a “boundary figure” that dismantles regnant ideals and
expectations.
Dans cet article, nous faisons l\'analyse sur le post Apartheid de l\'Afrique du Sud qui est représenté dans Disgrâce comme frontière métaphorique où, comme l\'intraitable frontière du Cape de l\'Est où le colonialisme a été imposé et opposé, où il n\'y avait aucune distinction entre soi-même et les autres. Nous examinons le concept de
frontière qui brouille comme itinéraire pour lire la question de réparation dans le
roman, en mettant l\'accent principalement sur la frontière du Cape de l\'Est comme
paysage avec une histoire pleine et un espace dans lesquels les identités sont formées
et transformées à travers la frontière d\'âge, du genre et de la race. Nous faisons
également l\'analyse de Lucie, une libérale lesbienne blanche, comme \" figure de
frontière \" qui démantèle les idéaux et les attentes.
Institute of African Studies Research Review Vol. 24 (1) 2008: pp. 27-36