Breeding status of invasive Rose-ringed Parakeets Psittacula krameri in Durban, South Africa Statut de la reproduction des perruches à collier Psittacula krameri envahissantes à Durban, Afrique du Sud

Abstract

The Rose-ringed Parakeet Psittacula krameri has established feral populations in South African suburban areas. However, the information on the breeding biology of parakeets remains poorly documented in the country. We assessed parakeets’ breeding status and behaviour by locating their roost and breeding sites in Durban, eThekwini Metropole, KwaZulu-Natal province. We also placed artificial nest boxes to determine the occupancy of parakeets or other bird species. We identified 39 parakeet breeding sites with a total of 72 nests. There were no significant differences between the number of active parakeet nests in the first (n = 53 nests) and second breeding seasons (n = 59). Rose-ringed Parakeets used four tree species for nesting, with the white milkwood Sideroxylon inerme used the most (71%). Only East African lowland honey bees Apis mellifera scutellata and Common Mynas Acridotheres tristis used the artificial nest boxes. Parakeet fledgings recorded ranged between one and three per nest, and their numbers differed significantly between seasons. The number of fledglings was not influenced by any of the tree variables measured and distance or location. The distance between the parakeets’ roosting and breedingsites ranged from 1.43 to 5.0 km. Our study provides essential data for an overall management strategy, including eradication programs for this species in South Africa.

La perruche à collier Psittacula krameri a établi des populations sauvages dans les zones suburbaines d’Afrique du Sud. Cependant, les informations sur la biologie de reproduction des perruches restent peu documentées dans le pays. Nous avons évalué le statut et le comportement de reproduction des perruches en localisant leurs sites de perchage et de reproduction à Durban, eThekwini Metropole, province de KwaZulu-Natal. Nous avons également placé des nichoirs artificiels afin de déterminer l’occupation des perruches ou d’autres espèces d’oiseaux. Nous avons identifié 39 sites de reproduction de perruches avec un total de 72 nids. Il n’y avait pas de différences significatives entre le nombre de nids actifs de perruches pendant la première (n = 53 nids) et la deuxième saison de reproduction (n = 59). Les perruches à collier utilisaient quatre espèces d’arbres pour nicher, le Sideroxylon inerme étant le plus utilisé (71%). Seules les abeilles des plaines d’Afrique de l’Est Apis mellifera scutellata et les Martins tristes  Acridotheres tristis ont utilisé les nichoirs artificiels. Le nombre de jeunes perruches enregistrées varie de un à trois par nid, et leur nombre diffère significativement entre les saisons. Le nombre d’oisillons n’a été influencé par aucune des variables de l’arbre mesurées, ni par la distance ou l’emplacement. La distance entre les sites de repos et de reproduction des perruches allait de 1.43 à 5.0 km. Notre étude fournit des données essentielles pour une stratégie de gestion globale, y compris des programmes d’éradication pour cette espèce en Afrique du Sud.