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Gould’s Icones avium (1837–1838) and vagrancy in the Pennant-winged Nightjar Caprimulgus vexillarius — could it wander to islands in the Indian Ocean?
Abstract
The Pennant-winged Nightjar Caprimulgus vexillarius was described in 1838 by John Gould from a male in breeding
plumage, but its given locality, various islands in the Indian Ocean and Red Sea coasts, was eventually deemed unreliable and replaced in the early 20th century with ‘Sierra Leone’, until the latter too was noticed to be far outside the species’ usual range. Most recently, the type locality has been suggested to be ‘southern Africa’. Using his extensive published correspondence, and other information, I discuss Gould’s contacts and preparation for a monograph of the Caprimulgidae during the mid-1830s. Clues as to where he may have acquired such a specimen are virtually non-existent, and there is no definite evidence to suggest that Gould received it from any of the terra typica mentioned. Nevertheless, the possibility that this species could wander to islands in the Indian Ocean, and elsewhere far outside the usual range, is clearly evidenced by modern sightings and historical specimens.
L’Icones avium de Gould (1837–1838) et l’erratisme chez l’engoulevent porte-étandard Caprimulgus vexillarius - pourrait-il errer vers les îles de l’océan Indien?
L’Engoulevent porte-étendard Caprimulgus vexillarius a été décrit en 1838 par John Gould à partir d’un mâle en plumage nuptial, mais la localité indiquée, diverses îles de l’océan Indien et des côtes de la mer Rouge, a finalement été jugée peu fiable et remplacée au début du 20e siècle par la ‘Sierra Leone’, jusqu’à ce que l’on s’aperçoive que cette dernière était également très éloignée de l’aire de répartition habituelle de l’espèce. Plus récemment, la localité type a été suggérée comme étant ‘l’Afrique australe’. À l’aide de sa vaste correspondance publiée et d’autres renseignements, je discute des contacts de Gould et de la préparation d’une monographie des Caprimulgidae au milieu des années 1830. Les indices sur l’endroit où il a pu acquérir un tel spécimen sont pratiquement inexistants, et il n’y a aucune preuve définitive qui suggère que Gould l’a reçu de l’une des terra
typica mentionnées. Néanmoins, la possibilité que cette espèce puisse errer vers des îles de l’océan Indien, et
ailleurs, bien au-delà de son aire de répartition habituelle, est clairement mise en évidence par des observations
modernes et des spécimens historiques.