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De la regie nationale des eaux (RNET) a la Togolaise des eaux (TDE), une gymnastique juridique sans grandes consequences sur le service de distribution d’eau. quelles leçons retenir pour la ville de Lome ?


VK Kpongbegna

Abstract

Not enable of providing quality drinking water on a permanent basis, water distributors Companies leave their zone of activity encroached by new actors who despite their number und the growing population to
satisfy cannot make head in the institutional structure sector. To renovate the sector, reforms had been put into place which saddly did not reach many countries, but only the companies’ legal status. If in this context some chose the privatization, the concession or through delegation instead of companies, others like Togo has opted for state-owned based on private management. The results of these political analysis shows that only companies have derived, much benefits from it. The disconnected number of people from
water did not change nor to say increased and yet reducing more the reputation of city known as stable concerning free access to pure water by them increasing the sphere of potential actors. At this juncture,
the last resort of connection to drinking water are drilling holder, nearest water sellers, water tankers which are doing a remarkable work but are always loving on the fringe of official actors. Their identification, integration and the recognition of their work will enable a better visibility and a better control of the of the communication space and to create a new necessary institutional environment.

 

Incapables de fournir de l’eau de qualité et de manière permanente, les sociétés distributrices d’eau laissent une bonne partie de leurs territoires à des nouveaux acteurs qui, malgré leur nombre et le nombre
croissant de la population desservie ne se retrouvent pas dans la structure institutionnelle du secteur. Pour redynamiser le secteur, des reformes ont été tentées et n’ont touché, dans le cas de plusieurs pays,
seulement le statut juridique des sociétés. Si certains ont opté pour la privatisation, la concession ou encore la délégation à des multinationales, d’autres comme le Togo ont opté pour d’une société d’Etat á régime privé. L’analyse des résultats de ces choix politiques a montré dans l’ensemble que seules les multinationales ont profités de ces reformes. Le nombre des débranchés du réseau est resté intact, voir augmenté, minimisant encore de plus les chances d’une ville homogène en matière d’accès à l’eau, augmentant ainsi le champ d’actions des nouveaux acteurs. Derniers recours des pauvres de connexion, les détenteurs de forage, les vendeurs de proximité, les camions citernes fournissent un travail remarquable mais reste toujours en marge des acteurs officiels. Leur identification, leur intégration et la
reconnaissance de leur travail permettront une meilleure lisibilité et une bonne maîtrise de l’espace de communication pour créer un nouveau cadre institutionnel indispensable.

 

 


Journal Identifiers


eISSN: 2413-354X
print ISSN: 1727-8651