La chaleur dans les villes d’Afrique tropicale : cas de cotonou et de parakou au Benin

Abstract

Despite we belong to the warm climate and their addiction to the conditions, Africa tropical populations feel sorry for heat everywhere and mostly in our countries. Some of Ojo’s written works (1996) and of
Escourrou (1991) even speak of small islands of heat in big towns of Africa. We are not going to deal in this way, through lack of adequate sufficient measures or densified network of climatological stations.
We propose to use monthly data of temperature and relative humidity to appreciate Touffeur effect mostly the afternoons with Scharlau graph and the warm weather by the refrigerating power of the air. The results we hope will let us to invalidate our hypothesis of the beginning in two climatic areas plus or minus different.

Malgré l’appartenance de notre milieu à la zone chaude et leur accoutumance aux conditions, les populations de l’Afrique tropicale se plaignent de la chaleur partout et surtout dans nos villes. Certains
écrits de Ojo (1996) et de Escourrou (1991) parlent même d’îlots de chaleur dans les grandes villes de l’Afrique. Nous n’allons pas aller dans cette direction faute de mesures itinérantes suffisantes ou
de réseau densifié de stations climatologiques. Nous nous proposons d’utiliser les données mensuelles de température et d’humidité relative pour apprécier l’effet de Touffeur surtout les après-midi par le graphe de Scharlau et le temps chaud par le pouvoir réfrigérant de l’air.
Les résultats auxquels nous parviendrons permettront d’affirmer ou d’infirmer notre hypothèse de départ dans deux milieux climatiques plus ou moins différents.