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Why infectious diseases persist: A Rapid review of the social determinants of Malaria, Cholera, Tuberculosis and Yellow Fever in Sub-Saharan Africa


Florence Agweibab
Florence Agweibab

Abstract

This review highlights the social determinants associated with some infectious diseases in Sub-Saharan Africa (SSA) over the past decade. Guided by PRISMA and Population Concept and Context (PCC), database searches in PubMed, Science Direct Elsevier, Springer Link, Plos One, and Google search were employed to identify relevant studies. For extraction of relevant data from the scripts, Metaanalysis and thematic analysis was used. The results show that few countries in SSA are engaged in the fight against these diseases. More so, Malaria had the greatest social determinants discussed (35%) followed by Cholera and TB (30% and 20% respectively). >80% of the population in the studies were pregnant women, women with children below 5, and children below 5 in rural areas. The social  determinants highlighted in the study include amongst others in descending order: social capital, community engagements, health care services, health behaviours/habits, safe drinking water, housing and toilet facilities, personal hygiene, and social groupings. Without underestimating the impact of any of these determinants in the contribution to infectious diseases, this review suggests further and deliberate studies on the effects of each of them on population health. It also recommends a need for policy development in this regard by considering social and biological/medical determinants as a twin tool for the elimination of infectious diseases.


Cette revue met en lumière les déterminants sociaux associés à certaines maladies infectieuses en Afrique subsaharienne (ASS) au cours de la dernière décennie. Guidées par PRISMA et Population Concept and Context (PCC), des recherches dans les bases de données PubMed, Science Direct Elsevier, Springer Link, PloS One et Google ont été utilisées pour identifier les études pertinentes. Pour extraire les données pertinentes , une méta-analyse et une analyse thématique ont été utilisées. Les résultats montrent que peu de pays d’ASS sont engagés dans la lutte contre ces maladies. Plus, encore, le paludisme avait les plus grands determinants sociaux discutés (35 %), suivi du choléra et de la tuberculose (30 % et 20 % respectivement). >80% de la population dans les études étaient des femmes enceintes, des femmes avec des enfants de moins de 5 ans et des enfants de moins de 5 ans dans les zones rurales. Les déterminants sociaux mis en évidence dans l’étude comprennent entre autres par ordre décroissant : le capital social, les engagements communautaires, les services de soins de santé, les comportements/habitudes de santé, l’eau potable, le logement et les toilettes, l’hygiène personnelle et les groupements sociaux. Sans sous-estimer l’impact de l’un ou l’autre de ces déterminants dans la contribution aux maladies infectieuses, cette revue propose des études plus approfondies et délibérées sur les effets de chacun d’eux sur la santé de la population. Il recommande également la nécessité d’élaborer des politiques à cet égard en considérant les déterminants sociaux et biologiques/médicaux comme un outil double pour l’élimination des maladies infectieuses.


Journal Identifiers


eISSN: 2617-3948
print ISSN: 2617-393X