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Seedbed treatment with direct heat from burning stubble and its effect on seedbed fungi, damping-off, and growth of tomato seedlings
Abstract
A 1-m2 seedbed with a history of damping-off was exposed to heat from burning stubble and assayed for soil fungi, damping-off, and growth of tomato seedlings. Seedbed drenched with a formalin-water mixture and an untreated seedbed were also studied. Heat was produced by burning a heap of stubble on the bed two times in two consecutive days. Temperatures of the heated bed were measured during heating at about 0-5 and 5-15 cm depths with a thermocouple fitted to a thermometer. Seedbed soils were assayed for fungi by the soil dilution plate technique and the beds bioassayed two times in situ at 4-mn interval with the tomato cultivar, Power. Soil pH, nitrogen, phosphorous and potassium concentrations were also determined. Soil temperatures ranging from an average of 55 oC (bottom 5-15 cm) to 70 oC (top 5 cm) were recorded during burning. Heating eradicated pythiaceous fungi and most fungi from the top 15 cm of the seedbed. Untreated seedbed had significantly higher populations of fungi. The effect of heat was comparable to that of formalin. Post-emergence damping-off was 0, 0.65 and 55.88 per cent, respectively, on the heated, formalin-treated and untreated beds. Tomato seedling growth (seedling height, fresh and dry weights) was significantly greater on the heated bed than on the unheated bed. Higher levels of soil pH, potassium and phosphorous were associated with the heated seedbed. However, soil nitrogen was unaffected. Based on these results, burning of stubble on seedbeds can be recommended as a non-chemical integrated pest management approach against weeds, damping-off of seedlings, and for enhancing seedbed fertility.
Un semis de 1m2 ayant une histoire de humectage était exposé à la chaleur de chaume brûlant et mis à l'essai pour le fongus du sol, le humectage et la croissance à venir de jeunes tomates. Pour le but de comparaison un semis trempé de formol: eau (7:1) mélangé et un semis non-traité étaient également étudiés. Chauffage était accompli par le vrûlage d'un tas de chaume sur le semis deux fois pendant deux jours consécutifs. Les températures de semis chauffé étaient prises pendant le chauffage à approximativement 0-5 cm et 5-15 cm de profondeurs avec une thermocouple ajusté au thermomètre. Les sols du semis étaient mis à l'essai pour le fongus pat la technique de plaque de dikution du sol et les semis étaient mis au bio-essai deux fois in situ à l'intervale de 4-mn avec la variété du tomate appellée Power. Les niveaux de pH du sol, l'azote, la phosphore et le potassium étaient également déterminés. Les températures de sol variant entre un moyen de 55 oC (en bas 5-15 cm) et 70 oC (enhaut 5 cm) étaient réalisées pendant le brûlage Chauffage éradiquait le fongus pythiaceoux et la pludart fongus de 15 cm du haut du semis. Le semis non-traité avait les populations de fongus considérablement plus élevées. L'effet de la chaleur était comparable à celui de formol. Le humectage de post émergence était 0, 0.65 et 55.88 % respectivement sur les semis chauffés, traités de formol et non-traités. La croissance de jeune tomate (taille de jeune tomate, poids de plante fraîche, poids de plante sèche) était considérablement meilleure sur le semis traité de chaleur que sur le semis non-traité. Les niveaux plus élevés de pH du sol de potassium et de phosphore étaient associés avec le semis chauffé. L'azote du sol n'était, cependant, pas influencé. D'après ces résultats, le brûlage de chaume sur les semis pourrait être recommandé comme un approche non-chimique intégré de désinsectisation pour lutter contre les mauvaises herbes et le humectage de jeunes tomates et pour eméliorer la fertilité du semis.
Ghana Journal of Agricultural Science Vol. 39 (1) 2006: pp. 51-60