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Plant growth analysis of maize (Zea mays L.) inter-cropped with cassava (Manihot esculentus Cranz)
Abstract
Analyse de croissance était utilisée dans une enquête en tant qu'une aide à l'interprétation quantitative de la croissance de plante des différentes récoltes sur pieds des deux variétés ('Dorke' et 'Dobidi') de maïs (Zea mays L.) et deux variétés ('Bosome Nsia' et 'Ankra') de manioc (Manihot esculentus Cranz) enraciné comme deux cultures semées en lignes alternantes dans les expériences à Fumesua (1986) et Kwadaso (1987) à Kumasi (6o 43o N, 1o 36o W). Les essais se sont déroulés dans un dessin de bloc complet choisi au hasard avec 24 arrangement factoriel de 4 facteurs principaux. Il y avait 4 blocs par essai. En Essai 1 (Fumesua 1986 première saison des pluies (majeure), les traitements dans les deux cultures semées en lignes alternantes étaient: variété de maïs ('Dorke' et 'Dobidi'), densité de maïs (20,000 et 40,000 plantes/ha); variété de manioc ('Bosome Nsia' et 'Ankra') et fertilisation de maïs (45 et 180 kg/ha N). En Essai 2 (Kwadaso 1987 seconde saison des pluies (mineur), les traitements dans les deux cultures semées en lignes alternantes étaient semblables à ceux de 1986 à Fumesua, sauf que le traitement de fertilisation de maïs était remplacé par un traitement de densité de manioc à 10,000 et 20,000 plantes/ha. Son usage de cette analyse à détecter des différences en croissance entre les années d'une variété et entre les variétés en une année était essentiel dans cette façon analytique d'aborder les études de culture. Les enquêtes signalaient les différences génotypiques et phénotypiques en croissance entre les variétés et leur rapport avec le rendement économique. Le développement de la surface foliaire (DSF) était découvert d'être important à l'accumulation de matière sèche et menait au rendement plus élevé de grain de maïs. Comme espéré la variété ('Dorke') de maturation tôt montrait une diminution marguée dans la surface foliaire vers la fin du cycle de croissance, alors que dans la variété ('Dobidi') de pleine saison cette diminution était moins marguée, aboutissant à la production de plus de matière sèche tard dans le cycle de croissance. Un maximum élevé de la surface foliaire seul ne pourrait pas justifier le 20 pour cent d'estimation de rendement de grain plus élevé de ‘Dobidi' au-dessus de ‘Dorke'. La longévité de fueille estimée par les valeurs de DSF calculé semblait d'avoir une influence importante surle rendement. Les comparaisons faites indiquaient que pour le maïs semé en lignes alternantes l'ampleur des différences entre le poids de la pouse sèche des varieties n'ont pas de rapport avec les différences de rendement de grain. Les proportions de croissance n'ont pas de rapport direct avec le rendement non plus. Les facteurs importantes qui n'étaient pas estimées maïs auraient pu avoir des effets contribuants semblaient être la durée du stade de remplissage des grains et les proportions photosynthétiques, que régnaient pendent le stade. Toutes les functions de croissance diminuaient considérablement et rapidement comme la plante mûrissait, suggérant une proportion de diminution progressive de l'augmentation de la matière.
Ghana Journal of Agricultural Science (2000) 33 (2), 127-138