Bulletin of Animal Health and Production in Africa
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The <i>Bulletin of Animal Health and Production in Africa</i> publishes articles on original research relevant to animal health and production activities which may lead to the improvement of the livestock industry in Africa and better utilisation of her animal resources. <b><i>Le Bulletin de la Santé et de la Production animales en Afrique</i></b> contient des articles de recherches originales traitant d’activitiés en matiére de santé et de production animals visant à assurer le développement de l’industrie animale et une meilleure utilisation des resources du bétail en Afrique.Inter-African Bureau for Animal Resourcesen-USBulletin of Animal Health and Production in Africa0378-9721Performance and haematological parameters of growing rabbits fed different levels of vitamin e inclusion
https://www.ajol.info/index.php/bahpa/article/view/167701
<p>Rabbit production is an attractive proposition for the supply of high quality meat especially in developing countries with little cereal surplus (Fayeye and Ayorinde, 2008).They are efficient converters of feed to meat. Thus, this study aimed to examine effects of vitamin E inclusion levels on performance and haematological parameters of growing rabbits. A total of forty eight (48) weaner rabbits of mixed breeds and sexes were randomly assigned into four treatments of twelve rabbits each. These rabbits were housed three (3) per cell. The rabbits were placed on four levels of vitamin E inclusion (0mg/kg {Control}, 100mg/kg, 200mg/kg and 300mg/kg) in a completely randomized design. Data were collected on the growth, haematological and serum biochemistry of the growing rabbits. Results obtained showed that levels of vitamin E inclusion significantly (P<0.05) influenced final weight, weight gain, total feed intake and feed conversion ratio of growing rabbits. Highest final weight and weight gain was obtained at 300mg/kg of vitamin E inclusion which differed significantly from other dietary treatment groups. Total feed intake was statistically higher in growing rabbits fed 100mg/kg of vitamin E inclusion which differed significantly (P>0.05) from values obtained at 200mg/kg and 300mg/kg inclusion levels. Best feed conversion ratio was obtained at 300mg/kg of vitamin E inclusion which differed significantly from other dietary treatments. Results obtained on haematological and serum biochemistry showed that levels of vitamin E inclusion did not significantly (P>0.05) influenced all the parameters measured. However, all the values obtained in this study on blood parameters are within the ranges of values reported as baseline data in growing rabbits by authors. It can be concluded that inclusion of dietary vitamin E at 300mg/kg in the diets of growing rabbits could help in enhancing growth performance of growing rabbits. Inclusion of dietary vitamin E in the diet of growing rabbits could help in improving immune responsiveness in growing rabbits has the result obtained in this study does not have any adverse effect on the haematological and serum biochemistry of growing rabbits.</p><p><br /><strong>Keywords</strong>: Rabbits; growth; Vitamin E and haematology</p><p> </p><p class="MsoNormal"><em><strong><span style="font-size: 11pt; font-family: GillSansMT-Bold;">Parametres de performance et d’hematologie des lapins en croissance soumis aux regimes contenant differents niveaux d’inclusion de vitamine e</span></strong></em></p><p class="MsoNormal"><strong><span style="font-size: 11.0pt; font-family: GillSansMT-Bold; mso-bidi-font-family: GillSansMT-Bold;"><br /></span></strong></p><p class="MsoNormal"><span style="font-size: 11.0pt; font-family: GillSansMT-Bold; mso-bidi-font-family: GillSansMT-Bold;">La production de lapins est une proposition attrayante pour l’approvisionnement en viande de haute qualité, en particulier dans les pays en développement ayant un faible surplus en céréales (Fayeye et Ayorinde, 2008). Les lapins sont des convertisseurs efficaces d’aliments animaux en viande. Ainsi, la présente étude avait pour objectif d’examiner les effets de différents niveaux d’inclusion de vitamine E sur les paramètres de performance et d’hématologie des lapins en croissance. Au total, quarante-huit (48) lapins sevrés de races mixtes et des deux sexes ont été répartis de manière aléatoire en quatre traitements de douze lapins par traitement. Ces lapins ont été logés par groupe de trois (3) par cellule. Les lapins ont été soumis à quatre niveaux d’inclusion de vitamine E (0 mg / kg {Control}, 100 mg / kg, 200 mg / kg et 300 mg / kg) selon un schéma complètement randomisé. Des données ont été recueillies sur la croissance,<br />l’hématologie et la biochimie sérique des lapins en croissance. Les résultats obtenus ont montré que les niveaux d’inclusion de vitamine E ont significativement (P <0,05) influencé le poids final, le gain pondéral, la<br />quantité totale absorbée et l’indice de consommation des lapins en croissance. Les niveaux les plus élevés de poids final et de gain pondéral ont été obtenus pour le taux d’inclusion de vitamine E de 300 mg / kg,qui différait significativement des autres groupes de traitement alimentaire. La quantité totale absorbée était statistiquement plus élevée chez les lapins en croissance soumis au taux d’inclusion de vitamine E de 100 mg / kg qui différait significativement (P> 0,05) des valeurs obtenues aux niveaux d’inclusion de 200 mg / kg et de 300 mg / kg. Le meilleur indice de consommation a été noté pour le niveau d’inclusion de vitamine E de 300 mg / kg qui était significativement différent des autres traitements diététiques. Les résultats obtenus pour la biochimie hématologique et sérique ont montré que les niveaux d’inclusion de vitamine E n’ont pas influencé significativement (P> 0,05) tous les paramètres mesurés. Cependant, dans cette étude, toutes les valeurs obtenues sur les paramètres sanguins se situent dans les fourchettes des valeurs rapportées par les auteurs comme données de référence chez les lapins en croissance. On peut conclure que l’inclusion de vitamine E alimentaire à 300 mg / kg dans le régime des lapins en croissance peut contribuer à l’amélioration des performances de croissance des jeunes lapins. L’inclusion de vitamine E dans le régime alimentaire des lapins en croissance pourrait contribuer à améliorer la réponse immunitaire des lapins en croissance, car le résultat obtenu dans cette étude a montré que la vitamine E n’a aucun effet négatif sur la biochimie hématologique et sérique des lapins en croissance. </span></p><p class="MsoNormal"><strong><span style="font-size: 11pt; font-family: GillSansMT-Bold;"><br /></span></strong></p><p class="MsoNormal"><span style="font-size: 11.0pt; font-family: GillSansMT-Bold; mso-bidi-font-family: GillSansMT-Bold;"><strong>Mots-clés</strong> : lapins ; croissance; vitamine E et hématologie <br /></span></p>A.A. AdeyemoO.A. AdeyemiO.A. Obasa
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2018-03-012018-03-0166171310.4314/bahpa.v66i1.Manifestation of contagious bovine pleuropneumonia in seven month-old calves infected via bronchoscope and in contact transmission
https://www.ajol.info/index.php/bahpa/article/view/167713
<p>Mycoplasma mycoides subsp. mycoides (Mmm) causes contagious bovine pleuropneumonia (CBPP) in adult cattle however calves younger than 6 months develop mostly arthritis and associated lameness, but very few lesions in the lungs, suggesting that Mycoplasma does not easily colonize lungs of young calves. The aim of this study was to assess effects of CBPP in 7-month-old calves following infection by in-contact transmission; and manifestation in adult cattle and calves infected via intubation method. Both adult and seven month old calves developed respiratory indications of CBPP. Although none of the adult cattle developed arthritis, 7/10 and all 5 calves infected by intubation and in-contact transmission methods respectively developed arthritis. The results show that 7-month-old calves, whether infected by intubation or in-contact method develop respiratory signs similar to adult cattle as well as arthritis as seen in calves younger than six months. This suggests that at seven months, calves have developed susceptibility to lung lesions but still have a propensity for damage in the joints like very young calves.</p><p><strong>Key words</strong>: Contagious bovine pleuropneumonia, Mycoplasma mycoides subsp. mycoides, Calves, intubation, in-contact transmission</p><p> </p><p><em><strong><span style="font-size: 11pt; font-family: GillSansMT-Bold;">Manifestation de la pleuropneumonie contagieuse bovine chez des veaux de sept mois infectes avec un bronchoscope et par contact</span></strong></em></p><p><span style="font-size: 11.0pt; font-family: GillSansMT-Bold; mso-fareast-font-family: 'Times New Roman'; mso-bidi-font-family: GillSansMT-Bold; mso-ansi-language: EN-GB; mso-fareast-language: EN-GB; mso-bidi-language: AR-SA;">Mycoplasma mycoides sous-espèce mycoides (Mmm) est responsable de la pleuropneumonie contagieuse bovine (PPCB) chez les bovins adultes, mais les veaux de moins de 6 mois développent essentiellement de l’arthrite et de la boiterie associée, mais très peu de lésions pulmonaires, ce qui porte à croire que Mycoplasma ne colonise pas facilement les poumons des jeunes veaux. Le but de cette étude était d’évaluer les effets de la PPCB chez les veaux de 7 mois infectés par contact, et les manifestations chez les bovins adultes et les veaux infectés par intubation. Les veaux adultes et ceux de sept mois ont développé des signes respiratoires de PPCB. Bien qu’aucun des bovins adultes n’ait développé de l’arthrite, 7/10 et tous les 5 veaux infectés par intubation et transmission par contact ont respectivement développé de l’arthrite. Les résultats montrent que les veaux de 7 mois, qu’ils soient infectés par intubation ou par contact, développent des signes respiratoires similaires à ceux des bovins adultes, tels que l’arthrite chez les veaux de moins de six mois. Ceci donne à penser qu’à sept mois les veaux ont développé une susceptibilité aux lésions pulmonaires, mais ont toujours une propension d’endommagement des articulations comme les très jeunes veaux.</span></p><p><span style="font-size: 11.0pt; font-family: GillSansMT-Bold; mso-fareast-font-family: 'Times New Roman'; mso-bidi-font-family: GillSansMT-Bold; mso-ansi-language: EN-GB; mso-fareast-language: EN-GB; mso-bidi-language: AR-SA;"><br /><strong>Mots-clés</strong> : pleuropneumonie contagieuse bovine, Mycoplasma mycoides sous-espèce mycoides, veaux, intubation, transmission par contact</span></p><p><span style="font-size: 11.0pt; font-family: GillSansMT-Bold; mso-fareast-font-family: 'Times New Roman'; mso-bidi-font-family: GillSansMT-Bold; mso-ansi-language: EN-GB; mso-fareast-language: EN-GB; mso-bidi-language: AR-SA;"><br /></span></p><p> </p>Aye RachealIsabel NkandoMartin MwirigiHezron WesongaJan Naessens
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2018-03-032018-03-03661152210.4314/bahpa.v66i1.Preliminary studies on pathogenic <i>Leptospira spp</i>. In slaughtered pigs in Abeokuta, Ogun State, Nigeria
https://www.ajol.info/index.php/bahpa/article/view/167754
<p>This study was undertaken to investigate the occurrence of pathogenic <em>Leptospira spp</em>. and the associated renal morphological changes in pigs slaughtered in slaughter slabs within Abeokuta metropolis, Nigeria. A total of 42 pigs’ kidney samples were randomly collected for the study. The samples were examined using Ellinghausen McCullough Johnson Harris (EMJH) medium, microscopic agglutination test (MAT), Warthin Starry silver stain (WSss) and immunohistochemistry (IH). Thirty (71.43%) of the 42 kidneys showed visible macroscopic lesions. Interstitial nephritis and tubular nephrosis were the most prominent histopathological changes. Leptospira organisms were isolated from 35 (83.3%) of 42 kidneys. The occurrence of Leptospira species from 23 uncontaminated isolates using MAT was 95.7% (22/23). The reactant serovars and respective detection rate were <em>Icterohaemorrhagiae</em> (8/23, 34.8%), <em>Pomona</em> (4/23, 17.4%), <em>Gripptotyphosa</em> (3/23, 13%) <em>Hardjo</em> (3/23, 13%), <em>Bratislava</em> (2/23, 8.7%), <em>Canicola</em> (2/23, 8.7%), and 1 undetermined isolate (4.4%). Leptospira organisms were detected in 20 (87%) and 8 (34.8%) of the 23 renal tissues examined using WSss and IH respectively. Comparison of level of agreement among diagnostic methods [using kappa statistics (ki)] showed very low level of agreement between MAT and IH, and between WSss and IH. However, there was significant P<0.005) measure of agreement between MAT and WSss. The significance of these <em>Leptospira serovars</em> in pig industry and their public health implications were discussed. This is the first investigative study on swine leptospirosis in Nigeria.</p><p><br /><strong>Keywords</strong>: immunohistochemistry, Leptospirosis, microscopic agglutination test, Pigs, renal pathology, Serovars.</p>O.L. AjayiR.E. AntiaO.E. OjoM.O. OlaniyiO.J. AwoyomiF.M. MshelbwalaA.A. AdebiyiT.M. OluwabiO.O. Kehinde
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2018-03-052018-03-05661354310.4314/bahpa.v66i1.Haematology and serum biochemistry of starter broiler chickens fed Malted Sorghum Sprout (MSP) or wheat-offal based diets supplemented with yeast culture and enzyme
https://www.ajol.info/index.php/bahpa/article/view/167756
<p>An experiment was conducted to determine the haematology and serum biochemistry of starter broilers fed malted sorghum sprouts (MSP) or wheat offal (W/O)-based diets supplemented with yeast culture and enzyme. A total of two hundred and forty day- old, unsexed Marshal Broiler chickens used for the experiment were randomly allotted to 8 dietary treatment groups of 30 birds each. Each treatment group was replicated thrice with 10 birds per replicate. Data on selected blood indices of the birds were collected at the end of the course of the feeding trial that lasted for 4 weeks. The experiment was a 2X4 factorial consisting of two (2) test ingredients (MSP and wheat offal) at 4 inclusion levels of enzyme or yeast (0g kg-1, +0.01gkg-1 yeast and Roxazyme G2(G) enzyme, + 0.01gkg-1 yeast, + Roxazyme G2(G) enzyme. At the end of the trial, the effect of MSP and wheat offal inclusion showed a significant effect (P<0.05) for uric acid and ALT. However, uric acid, total protein, Albumin and Globulin were highest for wheat offal diet. Furthermore, the results show that values obtained for PCV,RBC, WBC, uric acid, total protein, albumin, globulin, creatinine, ALT & AST were significantly (P<0.05) affected by the enzyme, yeast and their combination. In conclusion, supplementation with yeast + enzyme improves total protein, albumin and globulin by broiler chickens. Therefore MSP diet should be supplemented with yeast+ enzyme or enzyme singly to improve Livestock ration for better utilisation and optimum performance.</p><p><strong>Keywords</strong>: Haematological and Blood chemistry starter Broiler Malted Sorghum Sprout, wheat offal</p><p> </p><p><em><strong>Hematologie et biochimie serique de poussins de chair soumis aux regimes a base de germes de sorgho malte ou de sons de ble additionnes de culture de levure et d’enzymes</strong></em></p><p><em><strong><br /></strong></em></p><p>Une expérience a été réalisée dans le but de déterminer l’hématologie et la biochimie sérique des poussins de chair nourris aux germes de sorgho malté (MSP) ou aux sons de blé (E / H) additionnés de culture de levure et d’enzymes. Au total, deux cent quarante poussins de chair Marshal âgés d’un jour utilisés pour cette expérience ont été répartis de manière aléatoire à 8 groupes de traitement diététique de 30 oiseaux chacun. Chaque groupe de traitement a été répliqué trois fois, avec 10 oiseaux par répétition. Les données sur certains indices sanguins des oiseaux ont été recueillies à la fin de l’essai alimentaire qui a duré 4 semaines. L’expérience était un dispositif factoriel 2X4 constitué de deux (2) ingrédients à tester (MSP et sons de blé) à 4 niveaux d’inclusion d’enzymes ou de levure (0g kg-1, +0,01gkg-1 levure et Roxazyme G2 (G) enzyme, + 0,01gkg-1 de levure, + Roxazyme G2(G) enzyme. A la fin de l’essai alimentaire, l’effet du MSP et de l’inclusion de sons de blé a montré un effet significatif (P <0,05) pour l’acide urique et les ALT. Cependant, l’acide urique, la protéine totale, l’albumine et la globuline étaient plus élevés pour le régime aux sons de blé. En outre, les résultats montrent que les valeurs obtenues pour le PCV, le RBC, le WBC, l’acide urique, la protéine totale, l’albumine, la globuline, la créatinine, l’ALT et l’AST étaient significativement (P<0,05) affectées par l’enzyme, la levure et leur combinaison. En conclusion, la supplémentation en levure + enzyme améliore la protéine totale, l’albumine et la globuline chez les poulets de chair, donc le régime MSP doit être complété avec de la levure + enzyme ou l’enzyme uniquement afin d’améliorer la ration des poulets pour une meilleure utilisation et une performance optimale.</p><p><br /><strong>Mots-clés</strong> : hématologie, chimie sanguine, poussin de chair, germe de sorgho malté<em><strong><br /></strong></em></p><p> </p><p> </p><p> </p>F.O. ObadireR.A. OlorunisolaS.O. ObadireO.O. OluwatosinA.I. MuhammadA. TijjaniA.B. Amin
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2018-03-042018-03-04661354310.4314/bahpa.v66i1.Hematological and male hormonal profile of two cattle breeds reared at the federal University of Agriculture, Abeokuta
https://www.ajol.info/index.php/bahpa/article/view/167758
<p>Baseline data on the hematology of White Fulani and Muturu breeds of Cattle have been reported. However, very few documented studies have been carried out with regards to the reproductive hormonal profile of these breeds. Satisfactory reproductive performance is important to effective management and production as a whole in cattle production. Provision of data representing the male reproductive profile is imperative in view of the increasing importance of assisted reproduction and genetic selection in livestock farming. In the present study, the total erythrocyte values were similar in the male and female animals of both breeds. PCV and reticulocyte count in males were significantly higher than in females of the White Fulani breed while erythrocyte and leucocyte parameters obtained for the Muturu cattle were also similar for the males and females, except the reticulocyte values which were significantly higher in the females. Testosterone concentrations obtained for the Muturu bulls were similar to those earlier reported for Brown Swiss bulls (Thun et al., 1980) while values reported for the White Fulani breed are also similar to those for Nguni bulls (Kay, 1984). Average plasma FSH concentrations of the White Fulani breed were higher than those for the Muturu breed in this study. However, the mean plasma LH concentrations were higher in the Muturu breed. These data provide a baseline from which to compare hematological and male reproductive hormonal values in White Fulani and Muturu cattle and will be especially valuable in future in designing therapeutic protocols for the managements of abnormalities in these breeds of cattle.</p><p><br /><strong>Key words</strong>: Hematology, reproductive, hormones and cattle</p>Adeleye Olushola EmmanuelQuadri Jashola TemitopeOlukunle Johnny OlufemiAdeleye Adenike IyaboAdeyemi Samuel OlufemiRahman Samson Adisa
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2018-03-052018-03-05661455010.4314/bahpa.v66i1.Association of smallholder dairy farmers management and milking practices with bacterial quality of milk in Mbeya, Tanzania
https://www.ajol.info/index.php/bahpa/article/view/167761
<p>The study determine the association between some of managements and milking practices with bacterial counts in dairy herd among small holder dairy farmers of Mbeya and Mbozi districts of Mbeya, Tanzania. A cross-sectional study was conducted with the aim of assessing housing structures, condition and management, milking procedure and milk handling in the study area. A total of 192 raw milk samples were collected from farmers herds with at least one lactating dairy cow. Samples were tested for total bacteria count (TBC), total coliform counts (TCC) and total staphylococcus counts (TSC) using standard procedures. All respondents practiced hand milking and 96.9% of the respondents washed hands before milking. About 57.8% of the respondents used same towel to dry the udder of all milking cows in the herd per milking time. Furthermore, 42.2% of the respondents used individual towel for drying udder and teat. None of the respondents used pre milking, post milking dipping or dry cow therapy. Milk from cows kept in barns made from concrete floor had (p<0.001) lower TBC and TSC. Frequency of cleaning of dairy barn (p<0.05) influenced the TBC, TCC and TSC. Lack of fore milking (p<0.05) associated with higher TBC. Furthermore, water source (p<0.05) influenced TBC and TCC. Milking practices which includes washing of hands, udder and teat, dry of teats using individual towel per cow and followed by fore milking yielded (p<0.05) lower bacterial count than other practices. Similarly, cow barns whose floors were made from concrete and cleaned twice or more daily had clean cow which produce milk with lower bacterial counts than cows kept on floors made from timber and soil. The results reveal the need for training farmers in good agricultural practices. This would contribute to achieving better quality milk, and ensure the sustainability of the sector in the study area.</p><p><br /><strong>Key words</strong>: Cow barn, fore milking, post milking, Total bacteria count, Total coliform counts, Total staphylococcus counts</p><p> </p><p></p><p class="MsoNormal"><em><strong><span style="font-size: 11pt; font-family: GillSansMT-Bold;">Association entre les pratiques de gestion et de traite des petits producteurs laitiers et la qualite du lait sur le plan bacteriologique a Mbeya en Tanzanie</span></strong></em></p><p class="MsoNormal"><span style="font-size: 11pt; font-family: GillSansMT-Bold;"><br /></span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-size: 11pt; font-family: GillSansMT-Bold;"><br /></span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-size: 11pt; font-family: GillSansMT-Bold;">L’étude détermine l’association entre certaines pratiques de gestion et de traite et les numérations bactériennes dans le troupeau laitier des petits producteurs laitiers des districts de Mbeya et de Mbozi à Mbeya en Tanzanie. Une étude transversale a été menée dans le but d’évaluer les structures, l’état et la gestion des logements, la procédure de traite et la manipulation du lait dans la zone d’étude. Au total, 192 échantillons de lait cru ont été recueillis auprès de troupeaux d’éleveurs ayant au moins une vache laitière en lactation. Les échantillons ont été examinés pour déterminer la numération bactérienne totale (TBC), la numération totale de coliformes (TCC) et la numération totale de staphylocoques (TSC) en utilisant des procédures standard. Tous les répondants pratiquaient la traite manuelle et 96,9% des répondants se lavaient les mains avant la traite. Près de 57,8% des répondants utilisaient la même serviette pour sécher la mamelle de toutes les vaches laitières du troupeau par moment de traite. De plus, 42,2% des répondants utilisaient une serviette individuelle pour sécher la mamelle et le trayon. Aucun des répondants n’utilisait la thérapie de prétraite, de trempage post-traite ou de tarissement. Le lait des vaches gardées dans des étables avec plancher en béton avait (p <0,001) une TBC et une TSC plus faibles. La fréquence du nettoyage de l’étable des vaches laitières (p <0,05) a influé sur la TBC, la TCC et la TSC. L’absence de prétraite (p <0,05) était associée à une TBC plus élevée. De plus, la source d’eau (p <0,05) a influencé la TBC et la TCC. Les pratiques de traite comprenant le lavage des mains, des mamelles et des trayons, le séchage des trayons à l’aide d’une serviette individuelle par vache et suivi de prétraite ont donné (p <0,05) une numération<br />bactérienne plus faible par rapport aux autres pratiques. De même, les vaches logées dans les étables dont les planchers étaient en béton et nettoyées deux fois ou plus par jour étaient propres et produisaient du lait dont la numération bactérienne était inférieure à celle des vaches gardées sur des planchers de bois<br />et de terre. Les résultats révèlent la nécessité de former les éleveurs aux bonnes pratiques d’élevage. Ceci contribuera à obtenir du lait de meilleure qualité et à assurer la durabilité du secteur dans la zone d’étude. </span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-size: 11pt; font-family: GillSansMT-Bold;"><br /></span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-size: 11pt; font-family: GillSansMT-Bold;"><strong>Mots-clés</strong> : étable à vaches, prétraite, post-traite, numération bactérienne totale, numération totale de </span><span style="font-size: 11pt; font-family: GillSansMT-Bold;">coliformes, numération totale de staphylocoques</span><strong></strong><em><strong><span style="font-size: 11pt; font-family: GillSansMT-Bold;"><br /></span></strong></em></p><p class="MsoNormal"><em><strong><span style="font-size: 11pt; font-family: GillSansMT-Bold;"><br /></span></strong></em></p>H.F. MassaweR.H. MdegelaL.R. Kurwijila
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2018-03-052018-03-05661516510.4314/bahpa.v66i1.Effects of tris-based pumpkin seed milk extender supplemented with vitamin C on sperm viability of West African Dwarf goat buck during cold storage
https://www.ajol.info/index.php/bahpa/article/view/167767
<p>The effects of Tris based pumpkin seed milk extender supplemented with Vitamin C on sperm viability after storage was carried out in an in vitro study. Semen samples obtained from five (5) intact West African Dwarf (WAD) WAD bucks were pooled together for this study. The pooled semen were divided into 5 equal aliquots and diluted with Tris based pumpkin seed milk (TPSM) extender (20% pumpkin seed milk) supplemented with vitamin C at different levels, (0mM, 2mM, 4mM, 6mM and 8mM) respectively. The diluted semen samples were loaded into tubes, stored in a refrigerator maintained at 5oC for a period of 96 hours followed by evaluation. The result obtained showed higher (P<0.05) percentage motility at 4mM, 6mM, and 8mM. Significantly higher percentage acrosome integrity were obtained at 2mM, 4mM, 6mM, and 8mM of vitamin C, while 4mM, 6mM, and 8mM vitamin C supplementation in TPSM sustained membrane integrity compared to the control. Lower (P<0.05) abnormal sperm were observed at 2mM, 6mM and 8mM supplementation of vitamin C in TPSM extender. Reduced (P<0.05) malondialdehyde (MDA) concentrations were observed with 8mM inclusion level and significantly higher (P<0.05) acrosin activity value was observed at 8mM, while the result showed increased (P<0.05) arginase activity at 6mM inclusion level of vitamin C compared to the control. Results revealed vitamin C at 6mM and 8mM in TPSM extender had higher (P<0.05) percentage in vitro acrosome reaction and 8mM inclusion of vitamin C had highest (P<0.05) percentage in vitro sperm capacitation. The result revealed that optimal improvement in these viability parameters with increased levels of vitamin C supplementation in TPSM extenders. Therefore, supplementation of Vitamin C at higher levels (6mM and 8mM) in TPSM based extenders could sustain sperm viability parameters of WAD goat bucks during cold storage”</p><p><br /><strong>Keywords</strong>: Vitamin C; Pumpkin seed Milk; Goat buck; Cold storage; Sperm viability</p><p> </p><p> </p><p class="MsoNormal"><em><strong><span style="font-size: 11pt; font-family: GillSansMT-Bold;">Effets du dilueur de lait de graines de courge à base de tris complete avec de la vitamine c sur la viabilité du sperme des chèvres naines d’afrique de l’ouest males pendant le stockage au froid</span></strong></em></p><p class="MsoNormal"><em><strong><span style="font-size: 11pt; font-family: GillSansMT-Bold;"><br /></span></strong></em></p><p class="MsoNormal"><span style="font-size: 11pt; font-family: GillSansMT-Bold;">Les effets du dilueur de lait de graines de courge à base de Tris complété avec de la vitamine C sur la viabilité des spermatozoïdes après le stockage ont été évalués dans le cadre d’une étude in vitro. Des échantillons de sperme obtenus de cinq (5) chèvres naines d’Afrique de l’Ouest (WAD) mâles intacts ont été regroupés pour cette étude. Le sperme regroupé a été divisé en 5 parties aliquotes égales et dilué avec dilueur de lait de graines de courge (TPSM) à base de Tris (20% de lait de graines de courge) additionné de vitamine C à différents niveaux (respectivement 0mM, 2mM, 6mM et 8mM). Les échantillons de sperme dilué ont été placés dans des tubes, stockés dans un réfrigérateur maintenu à 5oC pendant une période de 96 heures suivie d’une évaluation. Le résultat obtenu a montré un plus grand pourcentage de mobilité (P <0,05) à 4 mM, 6 mM et 8 mM. Un pourcentage significativement élevé d’intégrité de l’acrosome a été obtenu à 2 mM, 4 mM, 6 mM et 8 mM de vitamine C, tandis qu’une supplémentation en vitamine C de 4 mM, 6 mM et 8 mM dans le TPSM a maintenu l’intégrité membranaire par rapport au témoin. Des spermatozoïdes anormaux inférieurs (P <0,05) ont été observés à 2 mM, 6 mM et 8 mM de supplémentation en vitamine C dans le dilueur TPSM. De faibles (P <0,05) teneurs en malondialdéhyde (MDA) ont été observées au taux d’inclusion de 8 mM et une activité de l’acrosine significativement plus élevée (P <0,05) a été notée au niveau d’inclusion de 8 mM, tandis que le résultat a montré une activité arginase accrue (P <0,05) au taux d’inclusion de 6mM de vitamine C par rapport au témoin. Les résultats ont révélé que la vitamine C à 6mM et 8mM dans le dilueur TPSP avait un pourcentage plus élevé (P <0,05) de réaction acrosome in vitro, et l’inclusion de 8mM de vitamine C avait le plus haut (P <0,05) pourcentage de capacitation in vitro des spermatozoïdes. Le résultat a révélé une amélioration optimale de ces paramètres de viabilité avec des niveaux accrus de supplémentation en vitamine C dans les dilueurs TPSM. Par conséquent, la supplémentation en vitamine C à des niveaux plus élevés (6 mM et 8 mM) dans les dilueurs à base de TPSM pourrait soutenir les paramètres de viabilité des spermatozoïdes des boucs WAD pendant le stockage au froid.</span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-size: 11pt; font-family: GillSansMT-Bold;"><br /><strong>Mots-clés</strong> : Vitamine C ; lait de grains de courge ; chèvre mâle ; stockage au froid ; viabilité du sperme</span></p><p class="MsoNormal"><em><strong><span style="font-size: 11pt; font-family: GillSansMT-Bold;"><br /></span></strong></em></p>Iyanda Olayinka AyobamiAdekunle Ezekiel OluwafemiSorongbe Taiwo AmiduAkinjute Obafemi FolusoOmodewu Ifeoluwa AyorindeImade Oluwatosin Victoria
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2018-03-052018-03-05661677810.4314/bahpa.v66i1.Seroepidemiology of Contagious Bovine Pleuropneumonia (CBPP) in Katsina State, Nigeria
https://www.ajol.info/index.php/bahpa/article/view/167774
<p>A cross sectional study was carried out on 200 cattle from 108 purposively selected herds in Mai’adua, Dutsinma and Funtua Local Government Areas representing Northern, Central and Southern Districts of Katsina state to determine herd and animal level seroprevalence of CBPP and to also identify risk factors of transmission of the disease in the state. Latex Agglutination Test (LAT) kit was used to assay for antibodies against Mycoplasma mycoides mycoides Small Colony (MmmSC). Structured questionnaires were used to generate data on possible risk factors to CBPP in the state. Herd level and animal level CBPP seroprevalence of 61.1% with odds ratio of 0.8 (95 % confidence interval (CI) = 0.34-1.73) and 47.5% with odds ratio of 1.8 (95% CI = 0.52-6.39) respectively was found. It was concluded that persistence of opportunities for contact between infected herds and or individual animals with susceptible ones will continue to sustain transmission and prevalence of CBPP in Katsina state. The Katsina state government should review its control strategy on CBPP and develop more intensified initiatives that will reach the ordinary herdsman in the rural community. Control, elimination and final eradication measures should be developed and well funded towards this disease of economic importance.</p><p><br /><strong>Keywords</strong>: CBPP, Cattle, Seroprevalence, Mai’adua, Dutsinma, Katsina</p><p> </p><p><em><strong>Seroepidemiologie de la Pleuropneumonie Contagieuse Bovine </strong></em><em><strong>(CBPP) dans l’etat de Katsina au Nigeria</strong></em><strong><em> </em></strong></p><p><strong><em></em></strong><br />Une étude transversale a été réalisée sur 200 bovins provenant de 108 troupeaux choisis à dessein dans les districts de May’adua, Dutsinma et Funtua représentant les districts nord, centre et sud de l’État de Katsina pour déterminer la séroprévalence de la PPCB au niveau du troupeau et de l’animal et définir les facteurs de risque de transmission de la maladie dans cet État. Le kit du Test de l’agglutination au latex (LAT) a été utilisé pour tester les anticorps contre Mycoplasma mycoides mycoides « Small Colony » (MmmSC). Des questionnaires structurés ont été utilisés pour générer des données sur les facteurs de risque possibles de la péripneumonie contagieuse bovine dans cet État. La séroprévalence de la PPCB au niveau du troupeau et de l’animal était de 61,1%, respectivement avec un rapport de cotes de 0,8 (intervalle de confiance à 95% = 0,34-1,73) et de 47,5% avec un rapport de cotes de 1,8 (IC à 95% = 0,52-6,39). Il a été conclu que la persistance des possibilités de contact entre les troupeaux infectés et / ou les individus et les animaux sensibles continuerait à maintenir la transmission et la prévalence de la péripneumonie contagieuse bovine dans l’État de Katsina. Le gouvernement de l’État de Katsina devrait revoir sa stratégie de contrôle de la péripneumonie contagieuse bovine et développer des initiatives plus intensives susceptibles d’atteindre le berger ordinaire dans la communauté rurale. Des mesures de contrôle, d’élimination et d’éradication finale devraient être développées et bien financées afin de lutter contre cette maladie d’importance économique.</p><p><br /><strong>Mots-clés</strong> : PPCB, bovins, séroprévalence, Mai’adua, Dutsinma, Katsina</p>R.Y. JamiluJ. KabirU.S. Salisu
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2018-03-052018-03-05661798310.4314/bahpa.v66i1.Performance characteristics and apparent nutrient digestibility of broiler chickens fed diets supplemented with phyto-additives
https://www.ajol.info/index.php/bahpa/article/view/167782
<p>A 56 d study was conducted to determine the effects of dietary inclusion of Moringa (Moringa oleifera) leafmeal, Neem (Azadirachta indica) leaf meal and Bitter leaf (Vernonia amygdalina) meal on the growth performance and apparent nutrient digestibility of broiler chickens. Four hundred (400) 1- d old unsexed Ross 308 broiler chickens were randomly allotted to five diets consisting either a basal diet without supplement (negative control) or basal diet with 5mg/kg commercial antibiotic (positive control) or basal diet with 5mg/kg phytobiotics (moringa leaf meal (MLM),neem leaf meal (NLM) and bitter leaf meal (BLM) for 1-56 d. Each dietary treatment consisted of 4 replicates of 20 birds with a replicate being an experimental unit. The phyto-additives were assayed for chemical compositions. The phytochemical screening revealed the presence of tannin, alkaloids, flavonoid, Phenol and Saponin. Birds fed diets supplemented with commercial antibiotic and MLM were heavier (p<0.05) while those on control and NLM had poorest weight at 28 d and 56 d. MLM and BLM diets were more consumed (p<0.05) by the starter birds. However, feed consumption was not influenced by the diets at the finisher phase. Birds on phyto-additives had higher percentage (p<0.05) of survival compared to those control and antibiotics at 28 and 56 d. Best feed:gain was achieved when the diet was supplemented with commercial antibiotics at 28 d and antibiotic and MLM at 56 d. The digestibility of dry matter (86.96%) and ash (75.34%) were higher (p<0.05) in birds given feed containing antibiotic improved (P<0.05) digestibility of crude protein and ether was observed in Birds fed diet containing commercial antibiotics.</p><p><strong>Keywords</strong>: Broiler chickens, phyto-additives, and performance characteristic</p><p> </p><p></p><p class="MsoNormal"><em><strong><span style="font-size: 11pt; font-family: GillSansMT-Bold;">Caracteristiques de performance et digestibilite apparente des nutriments des poulets de chair supplementes en phytoadditifs</span></strong></em></p><p class="MsoNormal"><em><strong><span style="font-size: 11pt; font-family: GillSansMT-Bold;"><br /></span></strong></em></p><p class="MsoNormal"><em><strong><span style="font-size: 11pt; font-family: GillSansMT-Bold;"><br /></span></strong></em></p><p class="MsoNormal"><span style="font-size: 11pt; font-family: GillSansMT-Bold;">Une étude de 56 jours a été réalisée dans le but de déterminer les effets de l’inclusion alimentaire de la farine de feuilles de Moringa (Moringa oleifera), de la farine de feuilles de Neem (Azadirachta indica) etde la feuille amère (Vernonia amygdalina) sur la croissance et la digestibilité apparente des poulets de chair. Quatre cents (400) poulets de chair Ross 308s des deux sexes, âgés d’un (1) jour, ont été aléatoirement répartis à cinq régimes comprenant soit un régime de base sans supplément (témoin négatif), soit un régime de base avec 5 mg / kg d’antibiotique commercial (témoin positif) ou un régime de base avec 5 mg / kg de phytobiotiques (farine de feuilles de moringa - MLM, farine de feuilles de neem –NLM- et farine defeuilles amères -BLM) pendant 1 à 56 jours. Chaque traitement diététique consistait en 4 répétitions de 20 oiseaux, une répétition étant une unité expérimentale. Les phyto-additifs ont été étudiés pour déterminer leurs compositions chimiques. Le dépistage phytochimique a révélé la présence de tanins, d’alcaloïdes, de flavonoïdes, de phénol et de saponine. Les oiseaux recevant des suppléments d’antibiotiques commerciaux et de MLM étaient plus lourds (p <0,05) que ceux soumis au régime témoin, et ceux recevant NLM avaient le poids le plus faible aux jours 28 et 56. Les régimes MLM et BLM étaient plus consommés (p <0,05) par les jeunes oiseaux. Cependant, la consommation d’aliments n’a pas été influencée par les régimes en phase de finition. Les oiseaux recevant des phyto-additifs avaient un pourcentage de survie plus élevé (p <0,05) que les témoins et les antibiotiques à 28 et 56 jours. Meilleur aliment : gain obtenu lorsque le régime était complété avec des antibiotiques commerciaux au jour 28 et des antibiotiques au jour 56. La digestibilité de la matière sèche (86,96%) et des cendres (75,34%) était plus élevée (p <0,05) chez les oiseaux recevant desaliments contenant des antibiotiques améliorés (P <0,05), la digestibilité de la protéine brute et de l’éther a été observée chez les oiseaux recevant des antibiotiques commerciaux. </span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-size: 11pt; font-family: GillSansMT-Bold;"><br /><strong>Mots-clés</strong> : poulets de chair, phyto-additifs, et caractéristiques de performance<br /></span></p><p class="MsoNormal"><em><strong><span style="font-size: 11pt; font-family: GillSansMT-Bold;"><br /></span></strong></em></p>A.V. JegedeI.A. OgunsolaO.O. OluwatosinO.M. Sogunle
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2018-03-052018-03-05661859310.4314/bahpa.v66i1.Assessment of some macromineral concentration of a grass/ legume sward in relation to livestock requirements
https://www.ajol.info/index.php/bahpa/article/view/167787
<p>The assessment of macromineral concentration of <em>Panicum/Stylosanthes</em> mixtures was carried out at the Cattle Production Venture, Federal University of Agriculture, Abeokuta, in Southwest Nigeria. The study aimed to determine the concentration of some macromineral elements in the grass/legume pasture grazed by the animals with the view of recommending an application of relevant fertilizers. The experiment was laid out as a split-plot design with two spatial distribution of biomass (dense and sparse) assigned to the main plot and three cut back heights (10, 15 and 20 cm above ground) allotted to the subplot. Main plots measured 15 x 5 m while sub-plots were 5 x 5 m. Samples of<em> Panicum maximum</em> (Ntchisi) and <em>Stylosanthes guianensis</em> were clipped and analyzed to determine the concentration of P, K, Ca, and Mg. Results showed that both forage types had sufficient levels of P, K, Ca and Mg to meet the requirements of ruminants. Calcium (9.10 g kg <sup>-1</sup>) and P (3.75 g kg <sup>-1</sup>) contents of <em>P. maximum</em> were (p<0.05) higher for the dense biomass cut back to 15 cm height. <em>Stylosanthes guianensis</em> in the dense biomass cut to 15 cm recorded higher value for Ca than other treatments. Magnesium concentration was higher for <em>P. maximum</em> in the dense biomass (6.68 g kg <sup>-1</sup>) cut to 10 cm and the same pasture type cut to 15 cm height above ground recorded (P<0.05) higher value (5.41 g kg <sup>-1</sup>) for <em>S. guianensis</em>. Cutting of forages with the aim of promoting the regrowth of young shoots appears to favour sufficient accumulation of minerals in both forage types. Since only a portion of the total forage available in a sward is useful to grazing animals based on sward characteristics (e.g spatial distribution), herbage with higher quality is preferred by ruminants. It can be concluded that dense pastures are highly nutritive and cut back to 10 cm above ground could potentially produce regrowth herbage with sufficient macrominerals which relegate the need for mineral supplementation in grazing animals and fertilizer application to the pasture sward.<br /><strong></strong></p><p><strong><br /></strong></p><p><strong>Keywords:</strong> Spatial distribution, <em>Panicum maximum</em>, <em>Stylosanthes guianensis</em>, cut back, grazing</p><p> </p><p> </p><p class="MsoNormal"><strong><em><span style="font-size: 11pt; font-family: GillSansMT-Bold;">Évaluation de certaines teneurs en macromineraux d’un tapis </span><span style="font-size: 11pt; font-family: GillSansMT-Bold;">d’herbes / graminees en fonction des besoins des animaux</span></em></strong><strong></strong></p><p class="MsoNormal"><span style="font-size: 11.0pt; font-family: GillSansMT-Bold; mso-bidi-font-family: GillSansMT-Bold;"><br /></span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-size: 11.0pt; font-family: GillSansMT-Bold; mso-bidi-font-family: GillSansMT-Bold;">L’évaluation de la teneur en macrominéraux des mélanges de P<em>anicum / Stylosanthes</em> a été réalisée à la Cattle Production Venture de l’Université Fédérale d’Agriculture d’Abeokuta, dans le sud-ouest du Nigeria. L’étude avait pour objectif de déterminer la concentration de certains éléments macrominéraux dans les pâturages d’herbes / graminées fréquentés par les animaux en vue de recommander l’application d’engrais appropriés. L’expérience a été présentée selon un dispositif à parcelles divisées avec deux distributions spatiales de biomasse (dense et éparse) assignées à la parcelle principale et trois aires à hauteurs d’herbes réduites (10, 15 et 20 cm au-dessus du sol) attribuées à la sous-parcelle. Les parcelles principales mesuraient 15 x 5 m tandis que les sous-parcelles mesuraient 5 x 5 m. Des échantillons de <em>Panicum maximum</em> (Ntchisi) et de <em>Stylosanthes hamata</em> cv (Verano) ont été coupés et analysés pour déterminer la teneur en P, K, Ca et Mg. Les résultats ont montré que les deux types de fourrage avaient des teneurs assez suffisantes en P, K, Ca et Mg pour répondre aux besoins des ruminants. Les teneurs en Calcium (9,10 g kg <sup>-1</sup>) et en P (3,75 g kg <sup>-1</sup>) de <em>P. maximum</em> étaient plus élevées (p <0,05) pour la biomasse dense ramenée à 15 cm de hauteur. Stylosanthes hamata dans la biomasse dense coupée à 15 cm a enregistré une valeur plus élevée pour le Ca par rapport aux autres traitements. La concentration de magnésium était plus élevée pour <em>P. maximum</em> dans la biomasse dense (6,68 g kg <sup>-1</sup>) coupée à 10 cm et le même type de pâturage coupé à 15 cm de hauteur au-dessus du sol a enregistré (P <0,05) une valeur plus élevée (5,41 g kg <sup>-1</sup>) pour <em>S. hamata.</em> Le fait de couper les fourrages dans le but de favoriser les repousses semble favoriser une accumulation suffisante de minéraux dans les deux types de fourrage. Puisque seule une partie du fourrage total disponible dans une couche végétale est utile aux animaux de pâturage en fonction des caractéristiques de la végétation (par exemple, la distribution spatiale), les ruminants préfèrent les herbages de meilleure qualité. On peut en conclure que les pâturages denses sont très nutritifs et qu’une coupure de 10 cm au-dessus du sol pourrait produire des repousses ayant suffisamment de macrominéraux, ce qui relègue le besoin de supplémentation minérale chez les animaux de pâturage et d’application d’engrais aux pâturages herbeux.</span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-size: 11.0pt; font-family: GillSansMT-Bold; mso-bidi-font-family: GillSansMT-Bold;"><br /></span><span style="font-size: 11.0pt; font-family: GillSansMT-Bold; mso-bidi-font-family: GillSansMT-Bold;"><strong>Mots-clés</strong> : répartition spatiale, <em>Panicum maximum, Stylosanthes hamata</em>, réduction de hauteur, pâturag</span><strong><span style="font-size: 11.0pt; font-family: GillSansMT-Bold; mso-bidi-font-family: GillSansMT-Bold;">e<br /></span></strong></p>J.A. OlaniteS.O. JimohO.O. AdeleyeV.O.A. OjoA.A. AmisuI.A. EwetolaS. Okuribido
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2018-03-052018-03-056619510410.4314/bahpa.v66i1.Gastrointestinal parasites of cattle and sheep slaughtered at Gombe Abattoir, Gombe State, North-Eastern Nigeria
https://www.ajol.info/index.php/bahpa/article/view/167803
<p>The objective of the study was to determine the prevalence and the distribution of gastrointestinal parasites of bile and faeces of cattle and sheep slaughtered at the Gombe abattoir, using bile sedimentation, faecal sedimentation and faecal floatation techniques. Composite samples were collected from three hundred and eighty nine (389) cattle and 398 sheep. An overall prevalence of 80.72% and 55.28% was<br />respectively found in cattle and sheep. Two hundred and sixty one 261(67.07), 51(13.11%) and 272(80.71%) cattle and 55(13.81%), 28(7.03%) and 182(45.72%) sheep were positive for one parasite or the other by the bile sedimentation, faecal sedimentation and faecal floatation techniques respectively. For both species, obtained results did not vary significantly (P>0.05) based on the sex, age and breed. However, there was a significant variations (P<0.05) based on sample type in cattle and month of sample collection and sample type in sheep. In cattle, the distribution of the recovered parasites showed the predominance of <em>Dicrocoelium hospes</em> 235(41.89%), followed <em>Fasciola spp</em>. 114(20.32%) and strongyle 75(13.37%). In addition, 58(10.34%), 1(0.18%) and 1(0.18%) cattle were respectively infected with coccidia, <em>Schistosoma bovis</em> and mite eggs. Mixed infections due to<em> Fasciola spp./Dicrocoelium hospes</em> was found among 58(10.34%) animals, while nine 9(1.60%) cattle were co-infected with strongyle and coccidia. In sheep, single infection due to <em>Fasciola ssp</em>., <em>Dicrocoelium hospes</em>, strongyle, coccidia, <em>Toxocara vitulorum</em> and <em>Moniezia expansa</em> were found among 11(3.44%), 52(16.25%), 86(26.88%), 133(41.56%), 1(0.31%) and 1(0.31%) animals respectively, while mixed infection due to Fasciola spp./Dicrocoelium hospes was found in 4(1.25%) and strongyle/coccidia in 32(10.00%) animals. Conclusively, the results revealed high prevalence in both species. The abundance of strongyle, coccidia, Fasciola spp. and Dicrocoelium hospes, in addition to other identified parasites was noted from this study. Future investigations may require the differentiation of species of parasites such as <em>Fasciola</em>, in view of their economic and public health significance.</p><p><strong>Key words:</strong> Gastrointestinal Parasite, Gombe, Abundance, Prevalence, Cattle, Sheep,</p><p> </p><p><em><strong>Parasites gastro-intestinaux des bovins abattus a l’abattoir de Gombe dans l’état de Gombe dans le Nord-Est du Nigeria</strong></em></p><p>L’objectif de l’étude était de déterminer la prévalence et la distribution des parasites gastrointestinaux de la bile et des excréments de bovins et ovins abattus à l’abattoir de Gombe, en utilisant la sédimentation biliaire, la sédimentation fécale et les techniques de flottation fécale. Des échantillons composites ont été prélevés sur trois cent quatre-vingt-neuf (389) bovins et 398 ovins. Une prévalence globale de 80,72% et 55,28% a été observée respectivement chez les bovins et les ovins. Cent soixante et un 261 soit (67,07), 51 (13,11%) et 272 (80,71%) des bovins et 55 (13,81%), 28 (7,03%) et 182 (45,72%) des moutons ont donné des résultats positifs pour un parasite ou un autre, respectivement par la sédimentation biliaire, la sédimentation fécale et les techniques de flottation fécale. Pour les deux espèces, les résultats obtenus n’ont pas montré de variation significative (P> 0,05) basée sur le sexe, l’âge et la race. Cependant, on a remarqué des variations significatives (P <0,05) basées sur le type d’échantillon chez les bovins et le mois de collecte des échantillons et le type d’échantillon chez les ovins. Chez les bovins, la distribution des parasites récupérés a montré la prédominance de Dicrocoelium hospes 235 (41,89%), suivie de Fasciola spp. 114 (20,32%) et de strongles 75 (13,37%). En outre, 58 (10,34%), 1 (0,18%) et 1 (0,18%) bovins étaient respectivement infectés par coccidia, Schistosoma bovis et des oeufs d’acariens. Des infections mixtes dues à Fasciola spp./Dicrocoelium hospes ont été observées chez 58 animaux (10,34%), tandis que 9 (1,60%) bovins étaient co-infectés par des strongles et des coccidies. Chez les ovins, une seule infection due à Fasciola spp., Dicrocoelium hospes, aux strongles, aux coccidies, à Toxocara vitulorum et à Moniezia expansa ont été trouvées respectivement chez 11 (3,44%), 52 (16,25%), 86 (26,88%), 133 (41,56%), 1 (0,31%) et 1 (0,31%) animaux, tandis que l’infection mixte due à <em>Fasciola spp./Dicrocoelium hospes</em> a été trouvée chez 4 animaux (1,25%) et les strongles / coccidies chez 32 (10,00%) animaux. En conclusion, les résultats ont révélé une forte prévalence chez les deux espèces. L’abondance de strongles, de coccidies, de Fasciola spp. et Dicrocoelium hospes, en plus des autres parasites identifiés, a été notée dans cette étude. Les recherches futures pourraient nécessiter une différenciation d’espèces de parasites telles que Fasciola, compte tenu de leur importance pour l’économie et la santé publique.</p><p><strong>Mots-clés</strong> : parasite gastro-intestinal, Gombe, abondance, prévalence, bovins, ovins,</p><p><em><strong><br /></strong></em></p>Joshua LukaOlogunja Joseph AjanusiNgozi Pauline ChiezeyJames Olaniyi Olabode BaleJames Tenshak Tanko
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2017-03-052017-03-0566110110910.4314/bahpa.v66i1.Single nucleotide polymorphisms in two TLR genes and their effects on trypanosomosis traits in muturu and White Fulani cattle challenged with <i>Trypanosoma vivax</i> in Nigeria
https://www.ajol.info/index.php/bahpa/article/view/167814
<p>Trypanosomosis is a parasitic infection of man and animals caused by Trypanosoma spp. which occurs throughout the tropical regions especially in sub-Saharan Africa and the disease is a major constraint in cattle production. Toll-like receptors genes are crucial in triggering an innate immune response against pathogens. The study investigated single nucleotide polymorphisms (SNPs) in two toll-like receptors (TLR) 1 and 2 genes in Muturu and White Fulani cattle challenged with Trypanosoma vivax to determine their association with indices of trypanotolerance in these cattle breeds. Thirteen yearling Muturu and White Fulani bulls were used for this study. Four animals of each breed were intravenously inoculated with 2 x 106 trypanosome organisms per millilitre, while five animals served as uninfected control group. Data on haematological indices were collected twice weekly before and after Trypanosoma vivax inoculation for six weeks. A total of 16 SNPs were detected in the two TLR genes, out of which 7 were detected in TLR1 and nine in TLR2. Of the SNPs detected, 43.75% (n = 7) were transition and 56.25% (n = 9) were transversion. The trypanosomosis traits that were mostly associated with the TLR SNPs were WBC and PCV. The study concluded that 12TLR-SNPs in Muturu and White Fulani cattle were associated with WBC, 7 with PCV, 3 with RBC, 2 with eosinophil and none with monocyte. The significant relationships between TLR-SNPs and trypanosomosis traits if genotyped could provide important information that can be used in the control of the disease.</p><p><br /><strong>Keywords:</strong> Toll-like receptors, single nucleotide polymorphisms, trypanosomosis, cattle</p><p> </p><p> </p><p class="MsoNormal"><em><strong><span style="font-size: 11pt; font-family: GillSansMT-Bold;">Polymorphismes mononucleotidiques dans deux genes de TLR et leurs effets sur les traits de trypanosomose chez des bovins Muturu et Fulani blanc exposes au trypanosoma vivax au Nigeria</span></strong></em></p><p class="MsoNormal"><em><strong><span style="font-size: 11pt; font-family: GillSansMT-Bold;"><br /></span></strong></em></p><p class="MsoNormal"><span style="font-size: 11pt; font-family: GillSansMT-Bold;">La trypanosomose est une infection parasitaire de l’homme et des animaux causée par Trypanosoma spp., qui est présente dans toutes les régions tropicales, en particulier en Afrique subsaharienne, et la maladie est une contrainte majeure à la production bovine. Les gènes des récepteurs de type Toll (récepteurs TLR) sont cruciaux pour déclencher une réponse immunitaire innée contre les pathogènes. L’étude a examinéles polymorphismes mononucléotidiques (SNP) de deux gènes des récepteurs TLR 1 et 2 chez des bovins Muturu et Fulani blancs infectés avec Trypanosoma vivax en vue de déterminer leur association avec les indices de trypanotolérance chez ces races de bovins. Treize jeunes Muturu et Fulani blanc âgés d’un an ont été utilisés pour cette étude. Quatre animaux de chaque race ont été inoculés par voie intraveineuseavec 2 x 106 organismes trypanosomes par millilitre, tandis que cinq animaux ont servi de groupe témoin non infecté. Les données sur les indices hématologiques ont été recueillies deux fois par semaine avant et après l’inoculation avec Trypanosoma vivax pendant six semaines. Un total de 16 SNP ont été détectés dans les deux gènes TLR, dont 7 détectés dans TLR1 et neuf dans TLR2. Parmi les SNP détectés, 43,75% (n = 7)étaient des transitions et 56,25% (n = 9) des transversions. Les traits de trypanosomose principalement associés aux SNP TLR étaient le WBC et le PCV. L’étude a conclu que 12 TLR-SNP chez les bovins Muturu et Fulani blanc étaient associés aux WBC, 7 au PCV, 3 au RBC, 2 aux éosinophiles et aucun aux monocytes. Les relations significatives entre les TLR-SNP et les traits de trypanosomose - s’ils sont génotypés - pourraient fournir des informations importantes susceptibles d’être utilisées dans le contrôle de la maladie.</span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-size: 11pt; font-family: GillSansMT-Bold;"><br /></span><span style="font-size: 11pt; font-family: GillSansMT-Bold;"><strong>Mots-clés</strong> : récepteurs TLR, polymorphismes mononu-cléotidiques, trypanosomose, bovins</span><strong></strong><em><strong><span style="font-size: 11pt; font-family: GillSansMT-Bold;"><br /></span></strong></em></p>AS AdenaikeM WhetoS.A. OlurodeO.F. SmithA.O. TalabiC.O.N. Ikeobi
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2018-03-052018-03-0566111512210.4314/bahpa.v66i1.Current attitudes regarding the use of perioperative analgesics and routine anaesthetic management in dogs and cats by veterinarians in Cameroon
https://www.ajol.info/index.php/bahpa/article/view/167819
<p>A survey was performed in 2017 to evaluate the use of perioperative analgesia and routine anaesthetic management in dogs and cats by Cameroon veterinarians in 19 veterinary clinics, including 7 and 12 in Douala and Yaounde, respectively. The questionnaire consisted of five sections recording demographic data, attitudes towards pain assessment and use of main analgesics in daily practices. Information about premedication, induction, maintenance and complications associated with anaesthesia in dogs and cats was also obtained. Only 15.79% of surveyed veterinary surgeons had undergone specialization in surgery and 36% considered their methods of pain quantification and control to be inadequate. The major part of the studied population (52.63%) was above 40 years old. Evaluated by the behavioural indicators (94.73%), animal pain is usually not quantified. The most used analgesics were glucocorticoids (dexamethasone, prednisone) and non-steroidal anti-inflammatory drugs (phenylbutazone, tolfenamic acid and meloxicam). The percentage of animals receiving analgesics postoperatively was 88.99% in dogs and 79.70% in cats. Few patients (28.72%) were weighed before applying anaesthesia. The most common monitored parameters were heart (78.95%) and respiratory (73.68%) rates. The use of anaesthesia and the choice of analgesic molecules varied significantly from one town to another (p = 0.00), and from dogs to cats (p = 0.03). Acepromazine was the most common used premedication in dogs and cats. Ketamine was the induction agent frequently used in dogs and cats. The complications that veterinarians encountered during anaesthesia were awakening and cardiorespiratory arrest. The anaesthetic death rate was 0.63%. Some improvements, particularly during pre-anaesthetic examinations and the use of perioperative drugs (analgesia and anaesthesia) can reduce the incidence of complications.</p><p><br /><strong>Keywords</strong>: Pain, anaesthesia, analgesics, survey, cats, dogs, monitoring, Cameroon.</p><p> </p><p> </p><p class="MsoNormal"><em><strong><span style="font-size: 11pt; font-family: GillSansMT-Bold;">Attitude des vétérinaires vis-à-vis de l’utilisation périopératoire des analgésiques et surveillance anesthésique chez les chiens et chats au Cameroun</span></strong></em></p><p class="MsoNormal"><em><strong><span style="font-size: 11pt; font-family: GillSansMT-Bold;"><br /></span></strong></em></p><p class="MsoNormal"><span style="font-size: 11pt; font-family: GillSansMT-Bold;">Une étude a été menée en 2017 afin d’évaluer l’utilisation périopératoire des analgésiques et la pratique de l’anesthésique chez les chiens et les chats par des vétérinaires privés du Cameroun. La collecte des données s’est faite dans 19 cliniques vétérinaires, dont 7 à Douala et 12 à Yaoundé. Le questionnaire était composé de cinq sections récoltant les données démographiques, les attitudes vis-à-vis de l’évaluation de la douleur et l’utilisation des principaux analgésiques dans la pratique quotidienne. Des informations sur la prémédication, l’induction, l’entretien et les complications associées à l’anesthésie chez les chiens et les chats ont également été obtenues. Seuls 15,79% des vétérinaires interrogés avaient subi une spécialisation en chirurgie et 36% ont considéré leurs méthodes de quantification et de contrôle de la douleur comme étant inadéquates. La majeure partie de la population étudiée (52,63%) était âgée de plus de 40 ans. Évaluée par les indicateurs comportementaux (94,73%), la douleur animale n’est généralement pas quantifiée. Les analgésiques les plus utilisés étaient les glucocorticoïdes (dexaméthasone, prednisone) et les anti-inflammatoires non stéroïdiens (phénylbutazone, acide tolfénamique et méloxicam). Le pourcentage d’animaux recevant des analgésiques après l’opération était de 88,99% chez les chiens et de 79,70% chez les chats. Peu de patients (28,72%) ont été pesés avant l’anesthésie. Les paramètres les plus fréquemment surveillés sont les fréquences cardiaque (78,95%) et respiratoires (73,68%). L’utilisation de l’anesthésie et le choix des molécules analgésiques varient significativement d’une ville à l’autre (p = 0,00), et des chiens aux chats (p = 0,03). L’acépromazine était le prémédicant le plus couramment utilisé chez les chiens et les chats. La kétamine était l’agent d’induction anesthésique le plus fréquemment utilisé chez les chiens et les chats. Les complications rencontrées par les vétérinaires lors de l’anesthésie étaient le réveil pendant l’anesthésie et l’arrêt cardiorespiratoire. Le taux de mortalité anesthésique était de 0,63%. Cette étude suggère qu’un soin particulier soit observé, en particulier lors des examens préanesthésiques et l’utilisation périopératoire des médicaments (analgésique et anesthésique) afin réduire l’incidence des complications. </span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-size: 11pt; font-family: GillSansMT-Bold;"><br /></span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-size: 11pt; font-family: GillSansMT-Bold;"><strong>Mots-clés </strong>: Douleur, anesthésie, analgésie, enquête, chats, chiens, surveillance, Cameroun.<br /></span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-size: 11pt; font-family: GillSansMT-Bold;"><br /></span></p>J. KouamoDongmo A.G. Kana
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2018-03-052018-03-0566112313010.4314/bahpa.v66i1.Current prevalence of <i>Fasciolosis</i> in small ruminants in Maiduguri semi-arid zone, Northeast Nigeria
https://www.ajol.info/index.php/bahpa/article/view/167828
<p>Small ruminants are an important source of animal protein and of special importance in those areas where cattle are of lesser importance. The study was conducted determined current prevalence of fasciolosis in sheep and goats in the semi-arid zone of northeast Nigeria. About 300 samples each from sheep and goats were collected and analysed for one year from June, 2015 to May, 2016. An overall prevalence of 9.65% and 9.15% was obtained in sheep and goats respectively. The prevalence of fasciolosis was higher in sheep (9.0%; CI: 8.8-16.2) as compare to goats (7.3%; CI: 4.9-10.9) during rainy season while during dry season, the prevalence was higher in goats (11.0%; CI: 7.9-15.1) than in sheep (10.3%; CI: 7.4-14.3) There was insignificant association (p>0.05) between the species in both seasons. Breed specific prevalence shows a significant association (p<0.05) among Uda (6.3%), Yankasa (4.0%) and Balami breed (0.0%) of sheep during dry season. Whereas in goats higher prevalence was observed in Sokoto Red (3.3%), (4.0%) followed by Cross Breed (2.3%), (3.7%) and least in Sahel White (1.7%), (3.4%) with statistically significant association (p<0.05) between infestation with fasciolosis and breeds of goats during both rainy and dry seasons. There was insignificant association (p>0.05) observed between ages of sheep and goats in both season. Sex specific prevalence shows a significant association (p<0.05) in sheep during dry season. Fasciola infestation was prevalent in sheep and goats in the study area. We recommend early treatment with anthelmintic and also destruction of intermediate host in order to obtained maximum benefit from small ruminants in semiarid zone, northeastern Nigeria.</p><p> </p><p><strong>Keywords</strong>: Fasciolosis, prevalence, semi-arid zone, small ruminants</p><p> </p><p> </p><p class="MsoNormal"><em><strong><span style="font-size: 11pt; font-family: GillSansMT-Bold;">Prévalence actuelle de la fasciolose chez les petits ruminants de la zone semi-aride de Maiduguri dans le Nord-est du Nigeria</span></strong></em></p><p class="MsoNormal"><em><strong><span style="font-size: 11pt; font-family: GillSansMT-Bold;"><br /></span></strong></em></p><p class="MsoNormal"><span style="font-size: 11pt; font-family: GillSansMT-Bold;">Les petits ruminants sont une source importante de protéines animales et revêtent une importance particulière dans les zones où les bovins ont moins d’importance. L’étude a été menée pour déterminer la prévalence actuelle de la fasciolose chez les ovins et les caprins de la zone semi-aride dans le nord-est du Nigeria. Près de 300 échantillons provenant d’ovins et de caprins ont été collectés et analysés pendant un an, de juin 2015 à mai 2016. Une prévalence globale de 9,65% et 9,15% a été enregistrée respectivement chez les ovins et les caprins. On a noté que la prévalence de la fasciolose était plus élevée chez les ovins </span><span style="font-size: 11pt; font-family: GillSansMT-Bold;">(9,0%, IC: 8,8-16,2) par rapport aux caprins (7,3%; IC: 4,9-10,9) pendant la saison des pluies, alors qu’en</span><strong></strong><em><strong> </strong></em><span style="font-size: 11pt; font-family: GillSansMT-Bold;">saison sèche elle était plus élevée chez les chèvres (11,0%; CI: 7,9-15,1) par rapport aux moutons (10,3%; </span><span style="font-size: 11pt; font-family: GillSansMT-Bold;">IC: 7,4-14,3). On a relevé une association insignifiante (p> 0,05) entre les espèces au cours des deux saisons. La prévalence spécifique à la race montre une association significative (p <0,05) chez les races Uda (6,3%), Yankasa (4,0%) et Balami (0,0%) des moutons pendant la saison sèche. Par contre, chez les chèvres, une prévalence plus élevée a été observée dans la race Sokoto rouge (3,3%), (4,0%), suivie de la race croisée (2,3%), (3,7%), et faible chez la race Sahel blanc (1,7%) (3,4%), avec une association statistiquement significative (p <0,05) entre l’infestation par la fasciolose et les races de chèvres pendant les saisons pluvieuses et sèches. On a noté une association insignifiante (p> 0,05) entre les âges des moutons et des chèvres au cours des deux saisons. La prévalence spécifique au sexe montre une association significative (p<0,05) chez les moutons pendant la saison sèche. L’infestation par Fasciola était répandue chez les moutons et les chèvres de la zone d’étude. Nous recommandons un traitement précoce aux antihelminthiques ainsi que la destruction de l’hôte intermédiaire afin de tirer un bénéfice maximal des petits ruminants dans la zone semi-aride du nord-est du Nigeria.</span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-size: 11pt; font-family: GillSansMT-Bold;"><br /><strong>Mots-clés</strong> : fasciolose, prévalence, zone semi-aride, petits ruminants<br /></span></p><p class="MsoNormal"><em><strong><span style="font-size: 11pt; font-family: GillSansMT-Bold;"><br /></span></strong></em></p>J.W. LibaN.N. AtsandaM. FrancisA.B. TaluvwaF.B. Mustapha
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2018-03-062018-03-0666113514510.4314/bahpa.v66i1.Reproductive performance of single and double artificial insemination protocol in swine
https://www.ajol.info/index.php/bahpa/article/view/167855
<p>The aim of the research was to contribute towards improved pig reproductive performance in Uganda, through determining community boar stud semen quality as affected by boar traits and comparing the performance of single and double insemination. Semen ejaculates (n=36) from mature boars (3Large white, 3 Camborough) were studied for quality in relation to breed, boar age and individual boar. In addition, single and double inseminations were carried out during in vivo fertility trials (n = 84). The data was analyzed for correlation using Spearman rank-order correlations and variance of means by Mann-Whitney test of SPSS version 20. There was a significant positive correlation between boar age and semen volume (rs = 0.849, p<0.05), semen density (rs (36) = 0.709, p<0.05), total sperms (rs (36) = 0.798, p< 0.05), motility (rs (36) = 0.571, p<0.05), membrane integrity (rs (36) = 0.713, p<0.05) and sperm viability (rs(36) = 0.875, p<0.05). The semen quality significantly varied (p<0.001) between individual boars. The sperm motility of the Camborough was significantly higher than LargeWhite (p<0.05). The conception rate in double insemination (94.4%) was not significantly different (p>0.05) from single insemination (89.6%). The mean litter size for single insemination was 8.16 ± 0.34, (range 2-13 piglets) while for double, it was 9.00±0.39, (range 4-16 piglets). There was a positive relationship between semen quality and boar age. The performance of single dose in terms of piglets per insemination was higher than in double dose. Thus, a single AI dose is as good as a double dose and should be promoted among smallholder farmers who need access to low cost but high gain from breeding services. The single dose protocol seem to reduce breeding costs, however, an investigation of cost benefit analysis is needed to establish its cost effectiveness in commercial artificial insemination.</p><p><br /><strong>Key words</strong>: Boar traits, insemination protocol, semen fertility (in vitro & in vivo)</p><p> </p><p> </p><p><strong>Performance reproductive du protocole d’insemination </strong><strong>artificielle simple et double chez les porcs</strong></p><p>Le but de la recherche était de contribuer à l’amélioration de la performance reproductive des porcs en Ouganda, en déterminant la qualité du sperme de verrats communautaires tel qu’affectée par les traits des verrats et en comparant les performances des inséminations simple et double. Les éjaculats (n = 36) de verrats matures (3Grand blanc, 3 Camborough) ont été étudiés pour déterminer leur qualité sur base de la race, de l’âge du verrat et du verrat individuel. De plus, des inséminations simples et doubles ont été réalisées lors d’essais de fertilité in vivo (n = 84). Les données ont été analysées pour déterminer la corrélation en utilisant les corrélations de rang-ordre de Spearman et la variance des moyennes par test de Mann-Whitney de SPSS version 20. On a noté une corrélation positive significative entre l’âge du verrat et le volume du sperme (rs = 0.849, p <0.05), la densité du sperme (rs (36) = 0,709, p <0,05), le nombre total de spermatozoïdes (rs (36) = 0,798, p <0,05), la motilité (rs (36) = 0,571, p <0,05), l’intégrité de la membrane (rs (36) = 0,713, p <0,05) et la viabilité des spermatozoïdes (rs (36) = 0,875, p <0,05). On a noté une variabilité significative (p <0,001) de la qualité du sperme entre verrats individuels. La motilité des spermatozoïdes du Camborough était significativement plus élevée que celle de LargeWhite (p <0,05). Le taux de conception en double insémination (94,4%) n’était pas significativement différent (p> 0,05) de celui de l’insémination unique (89,6%). La taille moyenne des portées pour une insémination unique était de 8,16 ± 0,34 (fourchette de 2 à 13 porcelets) alors que pour la double insémination elle était de 9,00 ± 0,39 (fourchette de 4 à 16 porcelets). On a relevé une relation positive entre la qualité du sperme et l’âge du everrat. La performance d’une dose unique en termes de porcelets par insémination était plus élevée qu’en double dose. Ainsi, une seule dose d’IA est aussi bonne qu’une double dose et devrait être encouragée chez les petits exploitants qui ont besoin d’accès à un coût faible mais à un gain élevé des services de sélection. Le protocole de dose unique semble réduire les coûts de reproduction, cependant, une étude de l’analyse coûts-avantages est nécessaire pour établir son rapport coût-efficacité dans l’insémination artificielle commerciale.</p><p><strong>Mots-clés</strong> : traits du verrat, protocole d’insémination, fertilité du sperme (in vitro & in vivo)</p>G.K. BamundagaR. NatumanyaD.R. KugonzaD.O. Owiny
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2017-03-072017-03-0766114315710.4314/bahpa.v66i1.Effects of proportion and ensiling duration on nutrient digestibility and fermentation characteristics of <i>Pennisetum purpureum</i> and <i>Enterolobium cyclocarpum</i> seeds silage using invitro gas production technique
https://www.ajol.info/index.php/bahpa/article/view/167845
<p>The nutritive value of Pennisetum purpureum grass with treated Enterolobium cyclocarpum seeds silage at varying proportions and at different ensiling periods was evaluated based on their chemical composition and in vitro fermentation. The study was a 7×2 factorial experiment with three replications. The factors were seven different proportions (100:0) as control, 85:15; 70:30) for boiled, toasted and raw E. cyclocarpum seeds ensiled with P. purpureum grass at varying proportions (85:15; 70:30 respectively) and two ensiling periods (30 and 60 days).The results revealed that crude protein (CP) contents of the silage ranged from 9.92 to 15.47 %, with 30% boiled seed+70% grass showing the highest CP contents. Silage that was ensiled for 60 days had significantly (P<0.05) higher CP content than in 30days period. The range of volatile fatty acids in the supernatant of the silage after in vitro incubation for 48h were: acetate (0.74 to 1.90 %); propionate (0.49 to 1.26 %) and butyrate (0.07 to 0.19 %). In vitro digestibility of silage ranged between60.33 and 81.67 % for dry matter, 58.12 and 84.98 % for crude proteinand neutral detergent fibre between68.17 and 88.13 %. Silage with 30% raw seeds + 70% grass had significantly (p>0.05) higher total anaerobic bacteria counts. Ensiling of the seeds and grass at 60 days produced higher total anaerobic bacteria counts than in silage that was ensiled for 30 days. In conclusion, high CP, moderate fibre and better in vitro fermentation characteristics in P. purpureum ensiled with treated E. cyclocarpum seeds at varying proportions and at different ensiling periods suggests better nutritive alternatives to sole P. purpureum grass silage, as well as an appropriate feeding strategy which can improve ruminants’ performance especially during the dry season</p><p><strong>Keywords</strong>: <em>Enterolobium cyclocarpum</em> seeds, fermentation, nutritive value, processing, proportion, <em>Pennisetum purpureum</em>.</p><p> </p><p><em><strong>Evaluation des effets de la proportion et de la duree d'ensilage sur la digestibilite et les caracteristiques on fermentaion des elements nutritifs des ensilages de pennisetum purpureum et d'enterlobium cyclocarpum en utilisant la technique de production de gaz invitro</strong></em></p><p>La valeur nutritive de l’herbe de Pennisetum purpureum avec ensilage de graines d’Enterolobium cyclocarpum traitées à des proportions variables et à différentes périodes d’ensilage a été évaluée sur la base de leur composition chimique et de leur fermentation in vitro. L’étude consistait en une expérience factorielle 7 × 2 avec trois répétitions. Les facteurs étaient sept proportions différentes - (100: 0) comme contrôle, 85:15; 70:30) pour des graines de E. cyclocarpum bouillies, grillées et crues ensilées avec de l’herbe de P. purpureum à des proportions variables (85:15, 70:30 respectivement) et deux périodes d’ensilage (30 et 60 jours). Les résultats ont révélé que la teneur en protéines brutes (PB) de l’ensilage variait de 9,92 à 15,47%, les pourcentages 30% de graines bouillies + 70% d’herbe montrant les plus fortes teneurs en protéine brute. L’ensilage de 60 jours avait une teneur en PB significativement plus élevée (P <0,05) par rapport à celui de 30 jours. La gamme d’acides gras volatils dans le surnageant de l’ensilage après incubation in vitro pendant 48h était : acétate (0,74 à 1,90%) ; propionate (0,49 à 1,26%) et butyrate (0,07 à 0,19%). La digestibilité in vitro de l’ensilage variait entre 60,33 et 81,67% pour la matière sèche, 58,12 et 84,98% pour la fibre brute et la fibre détergente neutre entre 68,17 et 88,13%. L’ensilage avec 30% de graines crues + 70% d’herbe avait des nombres totaux de bactéries anaérobies significativement plus élevés (p> 0,05). L’ensilage des graines et de l’herbe à 60 jours a produit des nombres de bactéries anaérobies totaux plus élevés par rapport à l’ensilage de 30 jours. En conclusion, une PB élevée, une teneur modérée en fibres et de meilleures caractéristiques de fermentation in vitro chez P. purpureum ensilées avec des graines d’E. Cyclocarpum traitées à des proportions variables et à différentes périodes d’ensilage semblent indiquer de meilleures alternatives nutritives par rapport à l’ensilage d’herbe pure P. purpureum, ainsi qu’une stratégie d’alimentation appropriée qui peut améliorer la performance des ruminants en particulier pendant la saison sèche.</p><p><strong>Mots-clés</strong>: graines d’Enterolobium cyclocarpum, fermentation, valeur nutritive, traitement, proportion, Pennisetum purpureum.</p>V.O.A. OjoO.O. AdelusiS.O. JimohK.O. YusufP.A. DeleB.T. Akinyemi
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2018-03-062018-03-0666116317510.4314/bahpa.v66i1.<i>Short communication</i>: Effect of physiological status on haematological parameters of West African Dwarf Goats
https://www.ajol.info/index.php/bahpa/article/view/167849
No Abstract.O.O. AdewumiA.G. Boyle-RennerS.T. IdowuB.O. OluwatosinA.B.J. AinaC.F. OnwukaO.J. Awoyomi
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2018-03-062018-03-0666117718010.4314/bahpa.v66i1.