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The Nasal Bacterial Flora Changes in Experimental Peste des Petits Ruminants Virus and its Co-Infection with Mannheimia Hemolytica in Goats.


BO Emikpe
SO Akpavie

Abstract

The study into the nasal bacterial flora changes associated with common viral and bacterial complicated viral pneumonia in subsaharan goats and its implications in the treatment plans is scanty in literatures. This investigation was part of a larger study that involved fifty apparently healthy West Africa Dwarf goats (WAD) of six months of age that were divided into groups A, B and C of 15 goats each while 5 goats served as control. Group A goats were infected with 1ml of pure culture (1 X 109 CFU) of Mannheimia haemolytica (MH) A2, group B with 1ml of pure cultured 106.5 TCID50 Peste des petit Ruminants (PPR) virus grown in Baby hamster kidney cell lines and group C with 1 ml of PPRV and a week later 1ml of MH A2. Nasal swabs were collected from each goat weekly while the identification and bacterial count of the isolates were carried out using standard methods. Student t-test was used to test for significant differences. In group B, the colonies of Mannheimia hemolytica was significantly increased from the third week pi, while that of group C, increased significantly from the second week pi (P<0.05). The dominance of MH over the other bacteria further confirmed it’s ability to overcome host-response, compete favourably and achieve attachment. This appear to be the first study that described the possible reason for the frequency of field association of PPRV and MH infections in goats and the possible antibiotics treatment timing in the viral and bacterial complicated viral pneumonia in goats.

Key word: Nasal bacteria, PPR, co-infection, Mannhemia Hemolytica

Les études sur les changements dans la flore bactérienne nasale associée à la pneumonie virale commune et à la pneumonie bactérienne compliquée chez les caprins subsahariens et ses implications dans les programmes de traitement sont rares dans la littérature scientifique. Cette enquête faisait partie d’une étude plus vaste qui impliquait cinquante chèvres naines d’Afrique de l’Ouest (WAD)apparemment en bonne santé, âgées de six mois, qui ont été divisés en groupes A, B et C de 15 chèvres chacun, tandis que 5 chèvres ont servi de témoin. Les chèvres du Groupe A ont été infectées avec 1 ml de culture pure (1 X 109 UFC) de Mannheimia haemolytica (MH) A2, le groupe B avec 1 ml de culture pure 106.5 TCID50 de virus de peste des petit ruminants (PPR) cultivés dans les cellules rénales des lignées de nouveau-né hamster et pour le groupe C , avec 1 ml de PPRV et avec 1 ml de A2 MH une semaine plus tard. Les écouvillons nasaux ont été prélevés sur les chèvres chaque semaine tandis que l’identification et le comptage de bactéries dans les isolats ont été effectuées en utilisant des méthodes standard. Le Test-t d’étude a été utilisé pour tester les différences significatives. Dans le groupe B, les colonies de Mannheimia hémolytique ont considérablement augmenté, a partir du pi de la troisième semaine tandis que celle du groupe C, a augmenté de manière significative a partir du pi de la deuxième semaine (P <0,05). La prédominance de MH par rapport aux autres bactéries a confirmé en outre sa capacité à surmonter la réaction de l’hôte, la compétition de manière favorable et réaliser son accrochage. Celle-ci semble être la première étude qui décrit les raisons possibles de la fréquence d’association sur le terrain des infections PPRV et MH chez la chèvre et le calendrier de traitement possible aux antibiotiques de la pneumonie virale et bactérienne compliquée chez les caprins

Mots clés: Bactéries Nasales, PPR, co-infection, Mannheimia Hemolytica


Journal Identifiers


eISSN: 0378-9721