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Homeownership Intention among Igbo Ethnic Group in Ilorin
Abstract
The extant literature has previously shown that attitude towards homeownership and pressure from reference groups may significantly affect individual’s homeownership intention especially in many western societies. The authors assumed that Nigerian citizens might also have similar experience especially for non-indigenes living and working in states in geo-political zones outside their own ethnic areas. The study surveyed 300 members of Igbo ethnic group residents in Ilorin metropolis. Simple random sampling method was adopted and data was gathered through structured questionnaire. The authors questioned participants about their attitude and intention towards owning personal home in the city. They also asked participants to relate to questions about the perceived easiness to acquire properties for personal use in the city and about the social (families’ and relatives’) pressure on their homeownership intention. Analytical techniques include simple frequency and percentage distributions, pearson chi-square and independent t-test. Research findings show that while many sampled participants have positive attitude towards homeownership in Ilorin, length of stay in the city, level of education and the perceived control affect homeownership intention among the participants. A surprising result was that subjective norms appear to exert little or no influence on participants’ homeownership intention. Hence, the finding demonstrates the interactive nature of social influence/personal norms dimension in homeownership through availability of and access to information and sources of homeownership funding.
La littérature existante a déjà montré que l’attitude envers l’accession à la propriété et la pression des groupes de référence peuvent affecter de manière significative l’intention d’accession à la propriété d’un individu, en particulier dans de nombreuses sociétés occidentales. Les auteurs ont supposé que les citoyens nigérians pourraient également avoir une expérience similaire, en particulier pour les non-indigènes vivant et travaillant dans des États situés dans des zones géopolitiques en dehors de leurs propres zones ethniques. L’étude a interrogé 300 membres du groupe ethnique Igbo résidant dans la métropole d’Ilorin. Une méthode d’échantillonnage aléatoire simple a été adoptée et les données ont été recueillies au moyen d’un questionnaire structuré. Les auteurs ont interrogé les participants sur leur attitude et leur intention de posséder une maison personnelle dans la ville. Ils ont également demandé aux participants de se rapporter à des questions sur la facilité perçue d’acquérir des propriétés à usage personnel dans la ville et sur la pression sociale (familles et proches) sur leur intention d’accession à la propriété. Les techniques analytiques comprennent des distributions simples de fréquence et de pourcentage, le chi carré de Pearson et le test t indépendant. Les résultats de la recherche montrent que si de nombreux participants échantillonnés ont une attitude positive envers l’accession à la propriété à Ilorin, la durée du séjour dans la ville, le niveau d’éducation et le contrôle perçu affectent l’intention d’accession à la propriété chez les participants. Un résultat surprenant est que les normes subjectives semblent exercer peu ou pas d’influence sur l’intention des participants d’accéder à la propriété. Par conséquent, les résultats démontrent la nature interactive de la dimension influence sociale/normes personnelles dans l’accession à la propriété grâce à la disponibilité et à l’accès à l’information et aux sources de financement pour l’accession à la propriété.