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‘Surviving like a Bird’: Livelihood Coping Strategies in an Informal Settlement of Windhoek, Namibia
Abstract
This study was done to investigate different types of sustainable livelihoods in an informal settlement of Windhoek, Namibia, and to identify and describe the coping mechanisms of these households. The study used mixed research using descriptive and exploratory designs. Quantitative data was collected using questionnaires, while qualitative data was collected through in-depth interviews with seven heads of households. A sample of 150 households was randomly selected to allow representation of the population. Thedescriptive statistic approach was used in the analysis of data, using the Statistical Package for the Social Science (SSPS version 23). Qualitative data analysis was done through thematic content analysis of transcribed data. Thestudy revealed that people migrate to the city in search of employment. Themost important factor for determining a positive lived experience in the informal settlement was whether a person has employment or not. Furthermore, a strong reciprocal social link between rural and urban areas has been found. The practice of residents in urban areas who send part of their remittance to rural areas has a positive spin-off on the rural economy, where the majority of migrants hail from. It was also established that rural households in the rural sending areas contributed agricultural produce to sustain the livelihoods of these urban informal dwellers. The most precarious and vulnerable group was singled headed unemployed elderly women, a clear indication of the gendered nature of poverty. Based on the study findings, various types of livelihoods and coping strategies have been identified from the study, namely rural-urban food transfer, informal sector activities, social network and remittance.
Cette étude a été réalisée pour étudier différents types de moyens de subsistance durables dans un village informel de Windhoek, en Namibie, et pour identifi r et décrire les mécanismes d’adaptation de ces ménages. L’étude a utilisé une recherche mixte utilisant des plans descriptifs et exploratoires. Les données quantitatives ont été collectées à l’aide de questionnaires, tandis que les données qualitatives ont été collectées au moyen d’entretiens approfondis avec sept chefs de ménage. Un échantillon de 150 ménages a été sélectionné au hasard pour permettre une représentation de la population. L’approche statistique descriptive a été utilisée dans l’analyse des données, à l’aide du progiciel statistique pour les sciences sociales (SSPS version 23). Une analyse qualitative des données a été effectuée par une analyse thématique du contenu des données transcrites. L’étude a révélé que les gens migrent vers la ville à la recherche d’un emploi. Le facteur le plus important pour déterminer une expérience positive dans l’établissement informel était de savoir si une personne avait un emploi ou non. En outre, un lien social réciproque solide entre les zones rurales et urbaines a été trouvé. La pratique des résidents des zones urbaines qui envoient une partie de leurs envois de fonds dans les zones rurales a une retombée positive sur l’économie rurale, d’où la majorité des migrants sont originaires. Il a également été établi que les ménages ruraux des zones rurales d’envoi fournissaient des produits agricoles pour soutenir les moyens de subsistance de ces habitants informels urbains. Le groupe le plus précaire et le plus vulnérable était les femmes âgées sans emploi dirigées par une seule personne, ce qui indique clairement la nature sexospécifique de la pauvreté. Sur la base des résultats de l’étude, divers types de moyens de subsistance et de stratégies d’adaptation ont été identifiés à partir de l’étude, à savoir le transfert alimentaire rural-urbain, les activités du secteur informel, le réseau social et les envois de fonds .