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The politics of ‘hope’ and ‘despair’: Generational dimensions to Igbo nationalism in post-civil war Nigeria


G Onuoha

Abstract

This paper examines the concept of “generations” as one of the key features of contemporary Igbo nationalism, and as one that has received relatively less or no attention in the literature on post-civil war Igbo nationalism in Nigeria. Drawing on the activities of Ohanaeze Ndi Igbo- the apex socio-political group in Igboland- and the Movement for the Actualization of the Sovereign State of Biafra (MASSOB) - a second-generation Igbo nationalist movement this article examines the dynamics of generational tensions between youth-led and elite-led Igbo groups in Igboland. On the one hand, the political agency of Ohanaeze Ndi Igbo is traced genealogically to the imperatives of the patrimonial politics of the Nigerian state, the need to play the “politics of the centre” and re-integrate the Igbo into mainstream politics in the postcivil war era. On the other hand, the MASSOB project is rooted in the aborted secessionist war for Igbo self-determination between 1967 and 1970. It rejects a state-led process, seeks the realignment of the generational balance of power, and ultimately, an exit of the Igbo ethnic group into an alternative political and administrative arrangement. These generational differences and tensions offer insights into the transformation of local politics and the changing configurations of power and authority in present day Igboland, one that pits an emergent youth movement against an enduring Igbo establishment within the broader context of ethnic identity politics in Nigeria.

Key Words: Nationalism, Igbo, War, patrimonial politics, Biafra, Nigeria, Generational differences

Résumé:

Cet article examine le concept de «générations» comme l’une des principales caractéristiques du nationalisme contemporain Igbo, et que celui qui a reçu relativement peu ou pas d’attention dans la littérature est l’après-guerre civile Igbo nationalisme au Nigeria. S’appuyant sur les activités de Ohanaeze Ndi Igbo- le groupe socio-politique sommet dans Igboland- et le Mouvement pour la réalisation de l’État souverain du Biafra (MASSOB) - une deuxième génération du mouvement nationaliste Igbo, cet article examine la dynamique des tensions générationnelles entre les groupes Igbo dirigés par des jeunes et de l’élite dirigée dans Igbo. D’une part, l’agence politique de Ohanaeze Ndi Igbo est tracée généalogique aux impératifs de la politique patrimoniale de l’Etat nigérian, le besoin de jouer la «politique du centre» et ré-intégrer les Igbo dans les grands courants politiques dans le post-tant civil époque de la guerre. D’autre part, le projet MASSOB est enracinée dans la Guerre de sécession avortée pour Igbo autodétermination entre 1967 et 1970 Il rejette un processus dirigé par l’État, vise la réorganisation de l’équilibre des générations du pouvoir, et, finalement, une sortie de l’ethnie Igbo dans un arrangement politique et administrative de remplacement. Ces différences générationnelles des tensions et offrir un aperçu de la transformation de la politique locale et l’évolution des configurations de pouvoir et d’autorité dans nos jours Igbo, qui oppose un mouvement de jeunesse émergente contre un établissement durable Igbo dans le contexte plus large de la politique de l’identité ethnique au Nigeria.

Mots clés: nationalisme, Igbo, la guerre, la politique patrimoniale, Biafra, au Nigeria, les différences entre générations



Journal Identifiers


eISSN: 1027-4332