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Antenatal HIV Screening and Treatment in South Africa: Social Norms and Policy Options
Abstract
South Africa has one of the highest prevalence of HIV and AIDS in the world, with mother-to-child transmission being an important route for spread of the infection. For years, AIDS scientists and activists locally and internationally have been working desperately for the people of South Africa to have access to treatment for HIV and AIDS. Policymakers in South Africa have consistently maintained that HIV infection is not responsible for AIDS, thus creating the biggest obstacle to implementation of appropriate prevention and therapeutic programmes, including antiretroviral therapy for HIV positive persons. Only recently, people within the government and ruling party, defying previous policy, have agreed that antiretroviral drugs should be given to pregnant women with HIV. The social fabric of South African society is markedly different from that of Western countries. In this paper, the author analyses the likely implications of antenatal testing and treatment of pregnant women in South Africa, in light of the socio-economic and cultural status of women in that society. (Afr J Reprod Health 2004; 8[2]: 77-85 )
KEY WORDS: HIV screening, South Africa, pregnant women
Dépistage et traitement prénatals du VIH en Afrique du Sud: normes sociales et options des politiques.
L\'Afrique du Sud a une des plus hautes prévalences du VIH et SIDA du monde, dont la transmission de la mère à l\'enfant est une voie importante pour la propagation de l\'infection. Depuis des années, les scientifiques et des activistes du SIDA sur le plan local et international, travaillent désespéremment pour que les gens d\'Afrique du Sud aient un accès au traitement pour le VIH et le SIDA. Les décisionnaires en Afrique du Sud ont systématiquement insisté sur le fait que l\'infection du VIH n\'est pas responsable du SIDA, créant ainsi le plus grand obstacle à la réalisation de la prévention appropriée et des programmes thérapeutiques, y compris la thérapie antirétrovirale pour les personnes séropositives. Très récemment, les fonctionnaires et les membres du parti politique au pouvoir, au mépris de l\'ancienne politique, ont accepté que les médicaments antirétroviraux soient donnés aux femmes enceintes séropositives. Le tissu social de la société sud africaine est remarquablement différent de celui des pays occidentaux. Dans cet article, l\'auteur fait une analyse des implications probables du dépistage et traitement prénatals des femmes enceintes en Afrique du Sud, à la lumière de la situation socio-économique et culturelle des femmes dans cette société-là. (Rev Afr Santé Reprod 2004; 8[2]: 77-85)
KEY WORDS: HIV screening, South Africa, pregnant women
Dépistage et traitement prénatals du VIH en Afrique du Sud: normes sociales et options des politiques.
L\'Afrique du Sud a une des plus hautes prévalences du VIH et SIDA du monde, dont la transmission de la mère à l\'enfant est une voie importante pour la propagation de l\'infection. Depuis des années, les scientifiques et des activistes du SIDA sur le plan local et international, travaillent désespéremment pour que les gens d\'Afrique du Sud aient un accès au traitement pour le VIH et le SIDA. Les décisionnaires en Afrique du Sud ont systématiquement insisté sur le fait que l\'infection du VIH n\'est pas responsable du SIDA, créant ainsi le plus grand obstacle à la réalisation de la prévention appropriée et des programmes thérapeutiques, y compris la thérapie antirétrovirale pour les personnes séropositives. Très récemment, les fonctionnaires et les membres du parti politique au pouvoir, au mépris de l\'ancienne politique, ont accepté que les médicaments antirétroviraux soient donnés aux femmes enceintes séropositives. Le tissu social de la société sud africaine est remarquablement différent de celui des pays occidentaux. Dans cet article, l\'auteur fait une analyse des implications probables du dépistage et traitement prénatals des femmes enceintes en Afrique du Sud, à la lumière de la situation socio-économique et culturelle des femmes dans cette société-là. (Rev Afr Santé Reprod 2004; 8[2]: 77-85)