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Published:
Aug 25, 2004DOI:
10.2307/3583310Keywords:
Abortion Ethiopia CEDAW legal reform reproductive health
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Advocacy for Legal Reform for Safe Abortion
Abstract
In Ethiopia, violation of women's reproductive rights is both a cause and a manifestation of women's disempowerment. Obstacles to full realisation of Ethiopian women's reproductive health and rights include the persistence of harmful traditional practices such as female genital mutilation, early marriage and abduction, as well as the disturbing prevalence of rape and HIV/AIDS. Unsafe abortion represents a particularly serious threat to women's health and lives. Ethiopia's status as a signatory to the Convention to Eliminate all Forms of Discrimination Against Women (CEDAW) and its constitutional guarantee of women's equality demand more aggressive action to eradicate such practices and inequities. After years of lobbying by women's organisations, parliamentarians are now reviewing a draft of the 1957 penal code, which includes numerous provisions addressing some of these practices and other conditions that underlie women's poor social and health status. (Afr J Reprod Health 2004; 8[1]:79-84)
RÉSUMÉ
Plaidoyer pour une réforme de la loi en faveur de l‘avortement sans risqué. En Ethiopie, la violation des droits de reproduction de la femme est une cause et une manifestation du manque du pouvoir de s´assumer. Parmi les obstacles à la pleine réalisation des droits de la santé de reproduction de la femme éthiopienne sont la persistence des pratiques traditionnelles nuisibles telles la mutilation génitale féminine, le mariage précose et l‘abduction ainsi que la prédominance inquiétante du viol et du VIH/SIDA. L‘avortement à risque représente une menace à la sante´de la femme et à sa vie. Le statut de l‘Ethiopie comme signataire à la Convention pour l‘Elimination de toutes formes de Discrimination Contre la Femme (CEDCF) et sa garantie constitutionnelle de l‘égalité féminine exige une action plus agressive pour éliminer de telles pratiques et injustices. Après des années de sollicitation par des organismes féminins, les parlementaires rédigent le brouillon du code pénal de 1957 qui contient de nombreuses dispositions pour aborder certaines de ces pratiques et d‘autres conditions qui sous-tendent l‘ état social et de santé faible de la femme. (Rev Afr Santé Reprod 2004 ; 8[1]:79-84)
RÉSUMÉ
Plaidoyer pour une réforme de la loi en faveur de l‘avortement sans risqué. En Ethiopie, la violation des droits de reproduction de la femme est une cause et une manifestation du manque du pouvoir de s´assumer. Parmi les obstacles à la pleine réalisation des droits de la santé de reproduction de la femme éthiopienne sont la persistence des pratiques traditionnelles nuisibles telles la mutilation génitale féminine, le mariage précose et l‘abduction ainsi que la prédominance inquiétante du viol et du VIH/SIDA. L‘avortement à risque représente une menace à la sante´de la femme et à sa vie. Le statut de l‘Ethiopie comme signataire à la Convention pour l‘Elimination de toutes formes de Discrimination Contre la Femme (CEDCF) et sa garantie constitutionnelle de l‘égalité féminine exige une action plus agressive pour éliminer de telles pratiques et injustices. Après des années de sollicitation par des organismes féminins, les parlementaires rédigent le brouillon du code pénal de 1957 qui contient de nombreuses dispositions pour aborder certaines de ces pratiques et d‘autres conditions qui sous-tendent l‘ état social et de santé faible de la femme. (Rev Afr Santé Reprod 2004 ; 8[1]:79-84)
