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Safe Motherhood Perspectives and Social Support for Primigravidae Women in Lusaka, Zambia
Abstract
The safe motherhood goals of being attended by a skilled attendant at birth have not been met in Zambia. Almost all (93%) of Zambian pregnant women attend antenatal care, though only 43% deliver in maternity units. This study was conducted to explore low-risk Zambian primigravidae's preparation for pregnancy including contraceptive use, content of antenatal care, preparation for childbirth and the extent of social support. Two hundred and ninety nine healthy primigravidae, who attended the antenatal clinic at the University Teaching Hospital (UTH), Lusaka, Zambia, were interviewed using a structured interview guide. The women's mean age was 20.7 years; 41% were adolescents. The adolescent group had significantly less years of education (p < 0.0000). In total, 78% had never used any contraceptive method. The main source of information on sexual issues was friends and the mass media. Only 2% of the women had received information on sexual and reproductive health matters from health staff. Nearly half did not want the pregnancy. Sixty three per cent of the women had made their first antenatal visit during the second trimester. There had been no antenatal preparation of the women for parturition and their parenting role. Eighty five per cent of the pregnant women had identified a social support person to assist them during pregnancy and after childbirth. The results suggest that preparation for parenthood had a low priority as part of the antenatal care. We recommend that as part of the integrated reproductive health approach, parenthood classes should be organised and social support network should be utilised and involved in the care. (Afr J Reprod Health 2003; 7[3]: 29–40)
RÉSUMÉ
Perspectives de la maternité sans risque et l'appui social pour les femmes primigestes à Lusaka, Zambie Les objectifs visés par la maternité sans risque de profiter du service des sage-femmes traditionnels bien habileté au moment de l'accouchement n'ont pas été atteints en Zambie. Presque toutes (93%) les femmes zambiennes enceintes vont à la consultation prénatale, quoique seules 43% accouchent dans des maternités. Cette étude a été menée pour explorer comment la primigeste zambienne à bas risque se prépare pour la grossesse y compris l'usage du contraceptif, le contenu des soins prénatals, les préparatifs pour la naissance et le niveau de l'appuie social. Deux cent quatre-vingt dix primigestes qui ont fréquenté la consultation prénatale au Centre Hospitalier Universitaire (CHU) de Lusaka, Zambie ont été interviewées à l'aide d'un guide d'interview structuré. L'âge moyen des femmes était de 20,7ans; 41% d'elles étaient des adolescentes. Le groupe adolescent était remarquablement moins scolarisé (p < 0,0000). Au total, 78% n'avaient jamais utilisé aucune méthode contraceptive. Les sources principales d'information en matières sexuelles et de la santé reproductive étaient des amis et les médias. Il n'y avaient que 2% des femmes qui s'étaient renseignées sur les questions sexuelles et la santé reproductive auprès du personnel médical. Presque la moitié n'ont pas voulu la grossesse. Soixante-trois pour cent des femmes avaient eu leur première visite à la consultation prénatale au cours du deuxieme trimestre. Il n'y avait aucun préparatif prénatal des femmes pour la parturition et leur rôle de parent. Quatre-vingt-cinq pour cent parmi les femmes enceintes avaient identifié la personne qui leur serviraient comme appui social au cours de la grossesse et pendant l'accouchement. Les résultats ont montré que les préparatifs pour le rôle de parent avait été accordé une faible priorité en ce qui concerne les soins prénatals. Comme approche de la santé reproductive intégrée, nous proposons que les cours soient organisés pour les parents et qu'un réseau d'appui social soit utilisé et fasse partie des soins. (Rev Afr Santé Reprod 2003; 7[3]: 29–40)
RÉSUMÉ
Perspectives de la maternité sans risque et l'appui social pour les femmes primigestes à Lusaka, Zambie Les objectifs visés par la maternité sans risque de profiter du service des sage-femmes traditionnels bien habileté au moment de l'accouchement n'ont pas été atteints en Zambie. Presque toutes (93%) les femmes zambiennes enceintes vont à la consultation prénatale, quoique seules 43% accouchent dans des maternités. Cette étude a été menée pour explorer comment la primigeste zambienne à bas risque se prépare pour la grossesse y compris l'usage du contraceptif, le contenu des soins prénatals, les préparatifs pour la naissance et le niveau de l'appuie social. Deux cent quatre-vingt dix primigestes qui ont fréquenté la consultation prénatale au Centre Hospitalier Universitaire (CHU) de Lusaka, Zambie ont été interviewées à l'aide d'un guide d'interview structuré. L'âge moyen des femmes était de 20,7ans; 41% d'elles étaient des adolescentes. Le groupe adolescent était remarquablement moins scolarisé (p < 0,0000). Au total, 78% n'avaient jamais utilisé aucune méthode contraceptive. Les sources principales d'information en matières sexuelles et de la santé reproductive étaient des amis et les médias. Il n'y avaient que 2% des femmes qui s'étaient renseignées sur les questions sexuelles et la santé reproductive auprès du personnel médical. Presque la moitié n'ont pas voulu la grossesse. Soixante-trois pour cent des femmes avaient eu leur première visite à la consultation prénatale au cours du deuxieme trimestre. Il n'y avait aucun préparatif prénatal des femmes pour la parturition et leur rôle de parent. Quatre-vingt-cinq pour cent parmi les femmes enceintes avaient identifié la personne qui leur serviraient comme appui social au cours de la grossesse et pendant l'accouchement. Les résultats ont montré que les préparatifs pour le rôle de parent avait été accordé une faible priorité en ce qui concerne les soins prénatals. Comme approche de la santé reproductive intégrée, nous proposons que les cours soient organisés pour les parents et qu'un réseau d'appui social soit utilisé et fasse partie des soins. (Rev Afr Santé Reprod 2003; 7[3]: 29–40)