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Review Article: Molecular Epidemiology of Breast Cancer: A Review
Abstract
RÉSUMÉ
Epidémiologie moléculaire du cancer du sein: un ré-examen. Le paradigme standard qui fournit une explication mécaniste générale pour l'association de l'exposition cumulative excessive de l'oestrogène et le risque du cancer du sein est que le stimulus prolifératif fourni par l'estradiol 17β (E2) ) conduit à l'apparition des mutations simultanées. Ainsi, la contribution clé de E2) est la stimulation de la prolifération de la cellule épithéliale du sein. Cependant, l'évidence s'accroît pour appuyer une voie complimentaire qui implique la génotoxicité directe (lésions d'AND oxydatif par voie de cycle redox) émanant des métabolités oestrogènes. Alors que les mutations dans les gènes à haute pénétrance telles BRCA1, BRCA2 et p53 confèrent un grand risque à un individu, elles représentent un faible risque attribuable occasionné par de faibles fréquences des gènes allélomorphes dans la population. Par contre, les mutations dans les phases 1 et 2 de gènes enzymatiques qui sont impliquées dans le métabolisme xénobiotique et endobiotique y compris les codages CYPIAI de gènes, N-acetyltransférase 2 et des isoformes M1 glutathione-S-transférase, T1(nul) et P1 (gens allémorphes et de faible activité) peuvent conférer un risque de cancer de faiblesse relative à un individu. Cependant, parce que ces mutations paraissent être communes chez les individus, elles représentent une catégorie de gens à un risque attribuable élévé. L'objectif de cet examen est d'étudier la littérature courante dans le domaine de l'épidémiologie moléculaire du cancer du sein en mettant l'accent sur le rôle des polymorphismes dans les gènes à haute et faible pénétrance sur la susceptibilité au cancer du sein. (Rev Afr Santé Reprod 2003; 7[3]: 17–28)
KEYWORDS: Molecular epidemiology, breast cancer, genes