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Prevalence of Gardnerella vaginalis in Pregnant Nigerian Women
Abstract
The prevalence of Gardnerella vaginalis in the genital tract of 253 pregnant Nigerian women was 17.0% (43). The highest prevalence occurred among women aged 16-20 years (26%) while the lowest occurred among those aged 31-35 years (13%). Women aged 30 years and below had an overall prevalence of 18.2%, while those above 30 years had a prevalence rate of 12.7%. This difference was not significant (c2 = 0.66; p = 0.42). There was a decline in the prevalence rate of G. vaginalis with increasing gestational age being 18.2% for pre-term gestational age (i.e., below 37 weeks) and 12.0% for term gestational age (37-42 weeks), although the difference was also not significant (c22 = 1.13; p > 0.5). Similarly, a non-significant decline in the prevalence of Gardnerella vaginalis occurred with increasing parity from 19% in the primigravida to 6.5% in the grandmultipara (c22 = 2.81; p = 0.246). No definite trend occurred in the prevalence of G. vaginalis for social class (c24 = 3.2; p = 0.525). The pattern of prevalence of Gardnerella vaginalis in the genital tract in pregnancy suggests an indirect relationship with pregnancy sexuality, which needs to be corroborated with further larger studies.
(Afr J Reprod Health 2001; 5[1]: 50-55)
RÉSUMÉ
Prévalence de Gardnerella vaginalis chez les femmes nigérianes enceintes. La prévalence de Gardnerella vaginalis dans le fasceau génital de 253 femmes nigérianes enceintes était de 17% (43). La prévalence la plus élevée s'est présentée chez les femmes âgées de 16-20 ans (26%) alors que la plus basse s'est présentée chez les femmes âgées de 31-35 ans (13%). Les femmes âgées de 30 ans ou moins avaient une prévalence totale de 18, 2%, alors que celles qui avaient plus de 30 ans avaient un taux de prévalence de 12,7%. Cette différence n'était pas significative (x2 = 1,66; p = 0,42). Il y avait une baisse dans le taux de prévalence de G. vaginalis, l'âge gestationnel croissant étant de 18, 2% pour l'âge gestationnel avant-terme (37-42 semaines) bien que la différence ne soit pas significative (x22 = 1.13, p > 0,5). De même, une baisse peu significative dans la prévalence de Gardnerella vaginalis s'est présentée avec une parité de 19% chez les primigestes jusqu' à 6,5% chez les grandmultimares (x22 = 2.18, p = 0,246). Il n'y avait pas de tendance particulière dans la prévalence de G.vaginalis chez la classe sociale (x24 = 3,2; p > 0,525). Le type de prévalence de G. vaginalis dans le fasceau génital au moment de la grossesse nous autorise à penser qu'il y a un rapport indirect avec la sexualité en grossesse, ce qui doit être corroboré avec encore d'études plus élargies.
(Rev Afr Santé Reprod 2001; 5[1]: 50-55)