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Antisepsis with Argyrol, acrimony and advocacy for African art
Abstract
Despite lack of evidence regarding its antiseptic superiority over silver nitrate for preventing ophthalmia neonatorum, Argyrol was promoted so savvily by Albert Coombs Barnes that the revenues enabled him to amass a unique art collection reflecting his early appreciation of the African influence on European painters. He addressed social disparities specially through access for disadvantaged individuals to his iconoclastic foundation and collaboration with a local African-American university. Legal wrangling over complex management issues and distinctive display arrangements, led to fiscal anguish, cultural torment and local affliction over that trove which is currently relocating to downtown Philadelphia.
Albert Coombs Barnes a développé et commercialisé l'Argyrol avec succès malgré l'absence de preuves sur sa supériorité antiseptique, par rapport au nitrate d'argent, pour la prévention de l'ophtalmie du nouveau-né. Les bénéfices de cette commercialisation intelligente de l'Argyrol lui ont permis d'acquérir une collection d'art, unique en son genre, qui démontre de l'influence africaine sur les peintres européens. Il s'est attaqué aux disparités sociales en donnant un accès préferentiel aux personnes défavorisées à sa fondation iconoclaste et en collaborant avec une université afro-américaine locale. Une querelle juridique, à propos de questions complexes de gestion et de la disposition des oeuvres d'art, a conduit à des problèmes financiers, à une polémique dans le milieu culturel et à une dispute de voisinage concernant ce trésor qui est actuellement en cours de déménagement au centre-ville de Philadelphie.
Key words: Sexually transmitted infections; Newborn; Maternal health; Mother-to-child transmission; Partnerships; Equity