Main Article Content

Status of reproductive health knowledge amongst High School girls in selected secondary schools, Limpopo Province, South Africa


Shonisani E. Tshivhase
Ridovhona R. Matshusa

Abstract

Among all age groups, knowledge of reproductive health can prevent unplanned pregnancy and STIs. The study assessed the status of reproductive health knowledge among secondary school girls in Limpopo Province, South Africa. A cross-sectional descriptive study design was conducted among secondary school girls between the ages of 14 and 19. A total of three hundred and forty (N=340) eligible learners were selected using stratified random sampling method. A self-administered questionnaire was used for data collection and data was analysed using Statistical Package for Social Sciences (SPSS) version 25. All ethical considerations were ensured throughout the study. About 184(56%) of the respondents were aged between 14 and 16 years, and 59% were grade nine and ten. The majority (72%; n=239) of the respondents stayed in rural areas and attended public schools (83%;n=274). Half (51%) of the study respondents had no idea about menstruation. Nine percent (24) of the respondents mentioned ICUD as a method of contraception. HIV/AIDS was the most common STI infection known by respondents at 52%. Oral and injectable contraceptives 72(35%) were cited as the most known methods to prevent unplanned pregnancies. The study found that respondents exposed little or lack of knowledge about reproductive health. Therefore, the Department of Education must carry out reproductive education among girls to promote reproductive health. Parents should be encouraged to explain reproductive health issues to their girl child. (Afr J Reprod Health 2024; 28 [4]: 60-70).


Dans tous les groupes d’âge, la connaissance de la santé reproductive peut prévenir les grossesses non planifiées et les IST. L'étude a évalué l'état des connaissances en matière de santé reproductive chez les filles du secondaire de la province du Limpopo, en Afrique du Sud. Un plan d'étude descriptif transversal a été mené auprès de filles du secondaire âgées de 14 à 19 ans. Un total de trois cent quarante ( N = 340) les apprenants éligibles ont été sélectionnés à l'aide d'une méthode d'échantillonnage aléatoire stratifié. Un questionnaire auto-administré a été utilisé pour la collecte de données et les données ont été analysées à l'aide du progiciel statistique pour les sciences sociales (SPSS) version 25. Toutes les considérations éthiques ont été respectées tout au long de l'étude. Environ 184 (56 %) des répondants étaient âgés de 14 à 16 ans, et 59 % étaient en neuvième et dixième années. La majorité (72 % ; n = 239) des personnes interrogées sont restées dans les zones rurales et ont fréquenté les écoles publiques (83 % ; n = 274). La moitié (51 %) des personnes interrogées n’avaient aucune idée de la menstruation. Neuf pour cent (24) des personnes interrogées ont mentionné l'ICUD comme méthode de contraception. Le VIH/SIDA était l'infection IST la plus courante connue par les répondants (52 %). Les contraceptifs oraux et injectables 72 (35 %) ont été cités comme les méthodes les plus connues pour prévenir les grossesses non planifiées. L'étude a révélé que les personnes interrogées ont montré peu ou pas de connaissances sur la santé reproductive. Par conséquent, le ministère de l’Éducation doit mener une éducation reproductive auprès des filles pour promouvoir la santé reproductive. Les parents devraient être encouragés à expliquer les problèmes de santé reproductive à leurs petites filles. (Afr J Reprod Health 2024; 28 [4]: 60-70).


Journal Identifiers


eISSN: 1118-4841