Cervical cancer screening in former sex workers in ex-localization area

Abstract

Despite the lack of commercial sex activities as the localization has been shut down since 2014, former commercial sex workers (CSW) could be at risk for  cervical cancer. Therefore, this study aimed to determine the prevalence of cervical cancer using early detection with Papanicolaou (Pap) smears in  former CSW in this ex-localization area. This study was conducted with purposive sampling intended to be limited to former CSW and women who still  live around this ex-localization area as a control group. This study included 76 women, 52.6% of whom were former CSW. Pap smear results showed no  pre-cancerous lesions of the cervix in any of the participants. Comparisons between the CSW and control groups showed no differences in Pap smear  results. Infection findings were found in 36.1% of CSW group. Early detection of human papillomavirus (HPV) DNA is necessary for identifying risk factors  for cervical cancer in these populations.

Malgré le manque d'activités sexuelles commerciales, la localisation étant fermée depuis 2014, les anciennes travailleuses du sexe (TS) pourraient être à  risque de cancer du col de l'utérus. Par conséquent, cette étude visait à déterminer la prévalence du cancer du col de l'utérus en utilisant la détection  précoce avec des frottis de Papanicolaou (Pap) chez les anciens CSW dans cette ex-zone de localisation. Cette étude a été menée avec un échantillonnage  raisonné destiné à être limité aux anciennes travailleuses du sexe et aux femmes qui vivent encore autour de cette ancienne zone de localisation en tant  que groupe témoin. Cette étude a inclus 76 femmes, dont 52,6 % étaient d'anciennes travailleuses du sexe. Les résultats des frottis de Pap n'ont montré  aucune lésion précancéreuse du col de l'utérus chez aucune des participantes. Les comparaisons entre les groupes de CSW et de contrôle n'ont montré  aucune différence dans les résultats des tests de Pap. Des résultats d'infection ont été trouvés dans 36,1% du groupe CSW. La détection précoce de l'ADN  du papillomavirus humain (HPV) est nécessaire pour identifier les facteurs de risque du cancer du col de l'utérus dans ces populations.