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Sexual Violence among Female Undergraduates in a Tertiary Institution in Port Harcourt: Prevalence, Pattern, Determinants and Health Consequences.
Abstract
The prevalence, pattern, determinants and health consequences of sexual violence on female undergraduates attending the University of Port Harcourt in the Niger-Delta region of Nigeria was investigated. The study was a cross-sectional study involving 413 female students, and consisted of self-administered questionnaires. Data were analysed using Epi Info v6.04d and presented as frequency tables. Associations were tested using Chi square and Odds Ratio, p< 0.05, at 95% CI. Mean age was 22.1 ±2.8. One hundred and ninety three (46.7%) had suffered from one form of sexual violence or the another. Fondling/grabbing of sensitive body parts was the commonest 65(33.7%) form of sexual violence. Intimate partners topped the list of perpetrators. Year of study (p=0.006, OR 0.57, CI=0.39-0.85), prior victimization (p= 0.049, OR= 1.52, CI= 1.00-2.30) and consensual sexual activity (p=0.001, OR=1.92, CI=1.29-2.84) were associated with sexual violence. Depression and guilt were the major health consequences reported. Sexual violence is high at the University of Port Harcourt, which warrants targeted preventive action.
Keywords: Sexual violence, epidemiology, health consequences, females, University.
Nous avons menée une étude sur la prévalence, la configuration, les déterminants et les conséquences sanitaires de la violence sexuelle contre les étudiantes de premier cycle dans une université. Une étude descriptive transversale a été réalisée auprès des 413 étudiantes de premier cycle à l’aide des questionnaires auto-administrés. Les données ont été analysées à l'aide du logiciel Epi Info v6.04d et présentées sous forme de tableaux de fréquence. Les associations ont été testés à l'aide du chi carré et Odds Ratio, p <0,05, à 95% CI. L'âge moyen était de 22,10 ± 2,83. Cent quatre-vingt-trois (46,7%) avaient souffert d'une forme de violence sexuelle ou d’une autre et les caresses/accaparement des parties sensibles du corps étaient les formes les plus fréquentes 65 (33,7%) de violence sexuelle. Les partenaires intimes étaient en tête de la liste des auteurs. L’année d'étude (p = 0,006, 0,57, IC = de 0,39 à 0,85), la persécution antérieure (p = 0,049, OR = 1,52, IC = 1,00 à 2,30) et l'activité sexuelle consensuelle (p = 0,001, OR = 1,92, IC = 1,29 à 2,84) ont été associés à la violence sexuelle. La dépression et la culpabilité étaient la conséquence majeure de santé signalée. La prévalence de la violence sexuelle était élevée dans notre institution. Il faut une intervention préventive ciblée.
Mots clés: violence sexuelle, l'épidémiologie, les conséquences sanitaires, femelles, Université.