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Residents’ Perceptions of Property Rating in a Traditional African City
Abstract
The success of any revenue generation drive by government depends on the support shown by an area’s residents. This in turn depends on the latter’s perceptions of the revenue. This study examines the influence of residents’ perceptions of a property tax in the different residential districts of Ogbomoso, Oyo State, Nigeria. Two of the ten political wards representing the three identifiable residential districts in the city were sampled. Two hundred and thirty-one occupants of dwellings were sampled, using the systematic random technique. The study identified that although variations exist in the socioeconomic status of residents in the different residential districts, there was not much significant difference in the perceptions held of the tax. While residents’ level of awareness of the existence of the tax and the proportion of residents that had once paid the tax increased from the core residential area to the suburban, an inverse proportion of residents supported the justification for its imposition. The study concluded that the tax should be portrayed as charges on services provided and that the residents’ present negative perceptions of the tax would change if services are provided to meet minimal residents’ satisfaction.
Keywords: internally-generated revenue, residents’ perceptions, property tax, residential zone, traditional city.
Le succès de toute initiative de génération de recette fiscale menée par le gouvernement dépend de l’adhésion des résidents de la région où ce projet a lieu. Par conséquent, un tel projet doit sa survie à la façon dont ces résidents perçoivent la question de l’impôt. Cette étude examine donc l’influence de la perception que les résidents ont sur le régime d’impôt foncier instauré dans différents quartiers résidentiels de la ville d’Ogbomoso, située dans l’État d’Oyo, au Nigeria. Deux des dix circonscriptions administratives représentant les trois quartiers résidentiels de la ville ont été retenues dans l’échantillon. Deux cent trente et un occupants de logements ont été sélectionnés à l’aide de la méthode d’échantillonnage aléatoire systématique. L’étude a permis d’identifier que, bien que la situation socioéconomique des habitants présente des variations dans les différents quartiers résidentiels, il n’y avait pas de différence significative dans leurs perceptions de cet impôt foncier. Bien que le degré de conscience de l’existence de la taxe et la proportion de résidents ayant déjà payé la taxe de résidents aient progressé de la zone résidentielle de base pour s’étendre vers la banlieue, une proportion inverse de résidents a soutenu les raisons qui ont justifié cette taxe. L’étude a conclu que pour une meilleure adhésion des habitants, cette taxe devrait être présentée comme des frais additionnels prélevés pour les services offerts et que les perceptions négatives actuelles des résidents changeraient si les services offerts assuraient un minimum de satisfaction aux résidents.
Mots-clés : recettes générées au niveau local, perceptions des résidents, impôt foncier, zone résidentielle, ville traditionnelle.