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Effect of mulching cabbage with banana residues on cabbage yield, soil nutrient and moisture supply, soil biota and weed biomass
Abstract
Banana (Musa spp.) residues were examined as organic inputs for cabbage (Brassica oleracea L.) production in Uganda with respect to yield and soil biological activities. Cabbage, cultivar Copenhagen, was cultivated on a Ferralsol of low inherent fertility, with (15 t ha-1 dw) or without banana residues and hand-weeding. Two additional treatments included application of fertiliser (100 kg N, 50 kg P and 100 kg K ha-1) with weeding and surface mulching with black polythene (no nutrient inputs). Rankings of cabbage yields by management practice were consistent in both seasons, following the order of fertilised + weeded > banana mulched + weeded > plastic mulched > weeded > banana mulched > unmulched + unweeded. Hand-weeding increased yields by 9.3 t ha-1 (fresh weight). Combined banana mulching and hand-weeding resulted in an additional 12.5 t ha-1, but this increase was 15.1 t ha-1 less than that from application of fertiliser. Surface mulching with banana residues was not effective in weed suppression or moisture conservation but increased earthworm population densities. Banana pseudostems decayed more rapidly than leaves, and excluding soil macrofauna from both decaying tissues delayed decomposition. Plastic mulching increased cabbage yields by 14.9 t ha-1 over the unweeded treatment and improved soil moisture status, but this material is not widely available to smallholder farmers in Uganda. Farmers who seek to improve vegetable production can utilise banana residues as nutrient inputs only in combination with effective weeding; although the nutrients applied through banana mulch may not be utilised effectively compared to chemical fertilisers.
RÉSUMÉ
Les résidus de banane (Musa spp.) ont été examinés comme intrants organiques pour la production des choux (Brassica oleracea L.) en Uganda en relation avec le rendement et les activités biologiques du sol. Le cultivar de chou Copenhagen, a été cultivé sur le Ferralsol de faible fertilité, avec (15 t ha-1) ou sans résidus de banane et le sarclage à la main. Deux traitements additionnels comprenaient l'application des engrais (100kg N, 50 kg P et 100 kg K ha-1) avec sarclage et paillage à la surface avec du polythène blanc (pas d'intrants d'élements nutritifs). L'ordre des rendements des choux par la pratique de gestion étaient consistant dans les deux saisons suivant l'ordre des fertilisants + sarclés> banane paillée + sarclés > plastique paillé >sarclés >banane paillée > non paillé >non sarclé. Le sarclage à la main a augmenté le rendement de 9.3 t ha-1 ( poids frais). La combinaison de la banane paillée et le sarclage à la main a abouti à un rendement additionnel de 12.5 t ha-1, mais cette augmentation était faible de 15.1 t ha-1 par rapport à l'application des engrais. Le paillage à la surface avec les résidus de banane n'a pas été efficace dans la suppression des mauvaises herbes ou la conservation de l'humidité mais a augmenté la densité de la population des vers de terre. Les pseudotiges de banane se décomposaient rapidement plus que les feuilles, et en excluant les macrofaunes du sol de deux tissus décomposant ils ont retardé la décomposition. Le paillage par le plastique a augmenté les rendements des choux dans les traitements non sarclés et ont amélioré l'état d'humidité du sol, cependant ce materiel n'est pas largement disponible chez les agriculteurs en Uganda. Les agriculteurs qui veulent améliorer la production des légumes peuvent utiliser des résidus de banane comme sources d'élements nutritifs seulement en combinaison evec un sarclage efficace, mais les élements nutritifs appliqués par le biais du paillage de banane ne pourraient pas être utilisés effectivement en comparaison des engrais chimiques.
(African Crop Science Journal 2001 9(3): 499-506)
RÉSUMÉ
Les résidus de banane (Musa spp.) ont été examinés comme intrants organiques pour la production des choux (Brassica oleracea L.) en Uganda en relation avec le rendement et les activités biologiques du sol. Le cultivar de chou Copenhagen, a été cultivé sur le Ferralsol de faible fertilité, avec (15 t ha-1) ou sans résidus de banane et le sarclage à la main. Deux traitements additionnels comprenaient l'application des engrais (100kg N, 50 kg P et 100 kg K ha-1) avec sarclage et paillage à la surface avec du polythène blanc (pas d'intrants d'élements nutritifs). L'ordre des rendements des choux par la pratique de gestion étaient consistant dans les deux saisons suivant l'ordre des fertilisants + sarclés> banane paillée + sarclés > plastique paillé >sarclés >banane paillée > non paillé >non sarclé. Le sarclage à la main a augmenté le rendement de 9.3 t ha-1 ( poids frais). La combinaison de la banane paillée et le sarclage à la main a abouti à un rendement additionnel de 12.5 t ha-1, mais cette augmentation était faible de 15.1 t ha-1 par rapport à l'application des engrais. Le paillage à la surface avec les résidus de banane n'a pas été efficace dans la suppression des mauvaises herbes ou la conservation de l'humidité mais a augmenté la densité de la population des vers de terre. Les pseudotiges de banane se décomposaient rapidement plus que les feuilles, et en excluant les macrofaunes du sol de deux tissus décomposant ils ont retardé la décomposition. Le paillage par le plastique a augmenté les rendements des choux dans les traitements non sarclés et ont amélioré l'état d'humidité du sol, cependant ce materiel n'est pas largement disponible chez les agriculteurs en Uganda. Les agriculteurs qui veulent améliorer la production des légumes peuvent utiliser des résidus de banane comme sources d'élements nutritifs seulement en combinaison evec un sarclage efficace, mais les élements nutritifs appliqués par le biais du paillage de banane ne pourraient pas être utilisés effectivement en comparaison des engrais chimiques.
(African Crop Science Journal 2001 9(3): 499-506)