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Reaction of sweetpotato clones to virus disease and their yield performance in Uganda
Abstract
Sweetpotato virus disease (SPVD) caused by dual infection of sweetpotato chlorotic stunt virus (SPCSV) and sweetpotato featherly mottle virus (SPFMV) is a major constraint to sweetpotato production in Uganda, whose infestation often necessitates instituting control measures. Although among the available control measures use of resistant and high yielding varieties is the cheapest and effective means of controlling the disease, reaction of several sweetpotato clones to the disease is largely unknown. A study was conducted in three geographical regions (Namulonge, Kachwekano, Bulegeni, Mbarara and Serere) in Uganda to evaluate reaction to sweetpotato virus disease (SPVD) and yield of 15 clones. The study was laid out in a completely randomised block design with 4 replications per clone. Mbarara and Namulonge had high incidence of SPVD (area under disease progress curve, AUDPC=0.77, 0.47, respectively), while Serere had the lowest incidence (AUDPC=0.13). Clones obtained from the International Potato Center (CIP) were highly susceptible to SPVD, while Ugandan lines were tolerant to SPVD even under high disease pressure. Clones Zapallo, Kemb 37, Mugande and Araka red were the most infected by the disease (AUDPC=1.17, 1.04, 0.96, 0.77, respectively), while clones 93-523, 93-1927, 93-493 and 93-319 each had a consistently lower AUDPC across all locations (AUDPC=0.086, 0.112, 0.114, 0.118). Clone 93-52 was high yielding across all locations (17.7 t ha-1) followed by 93-1927, Kemb 37, Mugande and Tanzania (AUDPC=16.9, 16.1, 15.6, 13.9 t ha-1, respectively). The lowest yielding clones were 93-316, 93-663, 93-523 and 23/60. Clones 93-29, 93-1096 and 23/60 were adaptable to all sites.
Key Words: Adaptability, AMMI analysis, Ipomoea batatas, yield stability
Résumé
Le virus de la maladie de patate douce (SPVD) causé par une infection duale de virus d'arrèt de croissance de patate douce chlorotique (SPCSV) et le virus plumeux de taches de patate douce est une contrainte majeure a la production de la patate douce en Ouganda, dont l'infestation nécessite souvent l'établissement des mesures de contrôle. Bien que parmi les mesures de contôle disponibles l'usage des variétés résistantes et de haut rendement est le moins coûteux et effectif moyen de contrôle de maladie, la réaction de plusiers clones de patates douce à la maladie est largement inconnue. Une étude était conduite dans trois régions géographiques (Namulonge, Kachwekano, Bulegeni, Mbarara et Serere) en Ouganda pour évaluer la réaction de patate douce (SPVD) et le rendement de 15 clones. L'étude était menée dans des blocks complément choisis au hasard avec 4 reproductions par clone. Mbarara et Namulonge avaient une incidence élévée de SPVD (surface sous une courbe de maladie en progrès, AUDPC=0,77; 0,47; respectivement), pendant que Serere avait la plus basse incidence (AVDPC=0.13). Les clones obtenus du Centre International de Patates (CIP) étaient hautement susceptibles au SPVD, pendant que les races Ougandaises étaient tolérantes au SPVD même sous haute pression de la maladie. Les clones Zapallo, Kemb 37, Mugande et Araka rouge étaient les plus infectés par la maladie (AVDPC=1,17; 1,04; 0,96; 0,77; respectivement), pendant que les clones 93-523, 93-1927, 93-493 et 93-319 chacun avait de manière conséquente un bas AVDPC aux travers tous les emplacements (AVDPC=0,086; 0,112; 0,114; 0,118). Le clone 93-52 était de haut rendement à traverse tous les emplacements (17,7 t/ha) suivi par 93-1927, Kemb 37, Mugande et Tanzania (AVDPC=16,9; 16,1; 15,6; 13.9 t/ha, respectivement). Les clones du plus bas rendement étaient 93-316, 93-663, 93-523 et 23/60. Les clones 93-29; 93-1096 et 23/60 étaient adaptables a tous les sites.
Mots Clés: Adatabilité, analyse d'AMMI, Ipomoea batatas, stabilité de rendement
(Af Crop Sci J 2002 Vol 10 No 4 pp317-324)
Key Words: Adaptability, AMMI analysis, Ipomoea batatas, yield stability
Résumé
Le virus de la maladie de patate douce (SPVD) causé par une infection duale de virus d'arrèt de croissance de patate douce chlorotique (SPCSV) et le virus plumeux de taches de patate douce est une contrainte majeure a la production de la patate douce en Ouganda, dont l'infestation nécessite souvent l'établissement des mesures de contrôle. Bien que parmi les mesures de contôle disponibles l'usage des variétés résistantes et de haut rendement est le moins coûteux et effectif moyen de contrôle de maladie, la réaction de plusiers clones de patates douce à la maladie est largement inconnue. Une étude était conduite dans trois régions géographiques (Namulonge, Kachwekano, Bulegeni, Mbarara et Serere) en Ouganda pour évaluer la réaction de patate douce (SPVD) et le rendement de 15 clones. L'étude était menée dans des blocks complément choisis au hasard avec 4 reproductions par clone. Mbarara et Namulonge avaient une incidence élévée de SPVD (surface sous une courbe de maladie en progrès, AUDPC=0,77; 0,47; respectivement), pendant que Serere avait la plus basse incidence (AVDPC=0.13). Les clones obtenus du Centre International de Patates (CIP) étaient hautement susceptibles au SPVD, pendant que les races Ougandaises étaient tolérantes au SPVD même sous haute pression de la maladie. Les clones Zapallo, Kemb 37, Mugande et Araka rouge étaient les plus infectés par la maladie (AVDPC=1,17; 1,04; 0,96; 0,77; respectivement), pendant que les clones 93-523, 93-1927, 93-493 et 93-319 chacun avait de manière conséquente un bas AVDPC aux travers tous les emplacements (AVDPC=0,086; 0,112; 0,114; 0,118). Le clone 93-52 était de haut rendement à traverse tous les emplacements (17,7 t/ha) suivi par 93-1927, Kemb 37, Mugande et Tanzania (AVDPC=16,9; 16,1; 15,6; 13.9 t/ha, respectivement). Les clones du plus bas rendement étaient 93-316, 93-663, 93-523 et 23/60. Les clones 93-29; 93-1096 et 23/60 étaient adaptables a tous les sites.
Mots Clés: Adatabilité, analyse d'AMMI, Ipomoea batatas, stabilité de rendement
(Af Crop Sci J 2002 Vol 10 No 4 pp317-324)