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Resistance to post-harvest microbial rot in yam: Integration of genotype and storage methods
Abstract
Post-harvest microbial rot is an important disease that causes severe losses in yam (Dioscorea spp.) storage. Rot from microbial infection of healthy yam tubers reduces their table quality and renders them unappealing to consumers. A study was carried out at Bimbilla in the Nanumba North District of Ghana to evaluate possible interactions of yam genotypes and storage methods for controlling internal rot in yam. Four local varieties (Labalkor, Kplondzo, Olordor and Fushiebila) were studied with four storage methods (barn, pit, platform and heap methods) in a 4 x 4 factorially arrangement. There were significant (P< 0.001) differences among genotypes for resistance to internal rot, with Olordor and Kplondzo recording the lowest internal microbial rot, suggesting their potential in resisting the disease. There were also significant differences (P< 0.05) among the storage methods, with barn and platform being most suitable in reducing the incidence of internal rot in yam. The interaction between yam genotypes and storage methods was not significant (P> 0.05).
Key Words: Barn, Dioscorea spp., internal rot
Le pourrissement microbien après la récolte est une maladie importante qui cause de pertes sévères dans le stockage des ignames (Dioscorea spp.). Le pourrissement dû à l’infection microbienne des ignames réduit leur qualité et la préférence des consommateurs. Une étude était menée à Bimbilla dans le District de Nanumba Nord au Ghana pour évaluer des interactions possibles des génotypes d’ignames et des méthodes de stockage pour le contrôle du pourrissement interne dans l’igname. Quatre variétés locales, (Labalkor, Kplondzo, Olordor et Fushiebila) étaient étudiées avec quatre méthodes de stockages (méthodes grange à igname, silo-fosse, plate forme et tassement) dans un arrangement factoriel 4 x 4. Aucune différence significative (P< 0.001) n’était observée
parmi les génotypes en rapport avec la résistance au pourrissement interne, seuls Olordor et Kplondzo ayant présenté les taux les moins élevés de pourrissement microbien interne, suggérant ainsi leur potentiel de résistance à la maladie. Il n’y avait pas aussi de différences significatives (P< 0.05) parmi les méthodes de stockage, avec grange à igname et plate forme ayant été les mieux indiquées dans la réduction de l’incidence du pourrissement interne des ignames. L’interaction entre les génotypes et méthodes de stockage n’était pas significatif (P> 0.05).
Mots Clés: Grange à igname, Dioscoreaspp., pourrissement interne